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Photo du rédacteurPierre Aubrit

L'ENTREPRISE ACTRICE DU BIEN COMMUN ET DE LA STABILITÉ SOCIALE de P. C. Aubrit St Pol

Dernière mise à jour : 3 janv.




L'ENTREPRISE : ACTRICE DU BIEN COMMUN


ET


DE LA STABILITÉ SOCIALE




INTRODUCTION


La crise des entreprises est contextualisée dans une mosaïque de séquelles dues aux agissements de l'état profond. Les acteurs du mondialisme poursuivent le projet d'instaurer un nouvel ordre mondial, annoncé par le président Bush senior lors de sa rencontre avec Gorbatchev sur l’Île de Malte du 2 et 3 décembre 1989.

Ce projet est élaboré par degrés depuis l’Alliance Hanséatique au XIIe siècle. Il implique un chaos dont les acteurs n'envisagent pas de perdre la maîtrise ; leur but principal est de constituer un gouvernement mondial. Il ne peut trouver sa légitimité que si un chaos universel est organisé. Et, il ne subsistera qu'à la condition de retirer aux peuples ses droits les plus élémentaires, et réduire chez l'individu la notion de liberté de conscience dans la loi, soit chimiquement, soit en intervenant sur l'ADN ou par un conditionnent qui annihile le discernement par la submersion des appétences les plus immondes.

Les élections du Pape saint Jean Paul II et celle du Président Trump les contraignent à agir de plus en plus à découvert. Et tout va s'accélérer avec la renonciation contrainte du Pape Benoît XVI.

Dans le royaume du mal, qui a son empire sur terre, il n'y a pas de charité ni de vérité. Les princes de l'enfer et leurs affidés savent qu'ils vont vers un échec. Ils sont poussés dans une fuite en avant, ce qui explique l'accélération de la décadence morale universelle surtout sont visées les nations anciennement chrétiennes. Ils détruiront tout plutôt que reconnaître leur défaite, mais Dieu les en empêchera. Cette intention sera comprise quand un État souverain, malgré son histoire, commettra l'irréparable.

Leurs actions diversifiées rendent difficile la compréhension de la situation. Les rouages sont divers et complexes. Une complexité entretenue par les médias qui leurs sont soumis. Ils diffusent une multitude d'informations élaborées de telle manière qu'elles rendent difficile le discernement. Ils maîtrisent la technique de la désinformation. Ils agissent sur les affects, ils en submergent la société. Conservons à l'esprit, que beaucoup de journalistes sont des commissaires politiques au service de puissances du monde et donc du mal. Ils n'ont plus de crédibilité morale ni intellectuelle. Ils ont le visage du Prince du mensonge.


L’Église est l'objectif premier de la haine des mondialistes attisée par des esprits contrefaits à la vérité, à la bienveillance, imprégnés d'une culture racialiste qui s'étend à tout ce qui leur est étranger. Ils suscitent des mouvements antichrétiens, des schismes ; ils s’agrègent tout ce qui peut les servir quitte à les détruire après usage. Ils sont parvenus à infiltrer la hiérarchie catholique romaine. Ils en ont fait l'un de leurs sièges décisionnaires.

Il n'y a rien de surprenant à ce que la confusion se généralise dans l’Église. Elle est le fruit d'une lente élaboration orchestrée depuis deux millénaires. Comprenons que si le Salut vient à nous par l’Église, c'est aussi par elle que les puissances du mal sont contraintes à s'étendre surtout avec l'assurance de la complicité d'une partie importante de la hiérarchie. Il ne fait aucun doute que l'occupant du Saint Siège est un mondialiste convaincu. Le péché va à son comble, son accomplissement. L'humanité ne comprendra que Dieu est l'ultime nécessaire qu'à cette condition. C'est notre manque de foi, de sanctification, de prière, notre athéisme et l'immoralisme qui contribuent à la violence croissante ce qui provoque l'intervention de Dieu dans sa Justice. L'apostasie d'une part de la hiérarchie de l’Église avec le relativisme comme séduction du monde est déterminante. La confusion qui sévit en elle dépasse l'arianisme1. Cette apostasie n'épargnera pas les autres églises ni communautés ecclésiales ni les autres religions. Il faut que tout soit dans le monde et son esprit totalement consommé.

La destinée du roi Nabuchodonosor II (Livres des Rois) prophétise au sujet de nos gouvernants. Malheur à eux, si le pouvoir qu'ils détiennent n'est pas ordonné au Bien Commun. Les évêques apostats y sont enfermés. Jésus a eu Judas, il L'a livré au pouvoir ennemi ; l’Église, son épouse, suit son Époux. Elle est trahie, et connaîtra un anéantissement social ; c'est à ce prix qu'elle triomphera. Malheur à ceux qui se dressent contre elle. Ils se couperont de toute miséricorde. Dieu permet le mal dans une certaine limite, toujours en relation de causalité avec la somme de péchés dans le monde et le manque de sainteté dans l’Église. Il le fait aboutir au triomphe de sa Justice et de sa Miséricorde. C'est la programme du Magnificat.



NATURE DU CONFLIT :


Il s'agit d'une guerre menée dans l'ordre naturel mais surtout surnaturel. Nous affrontons une période conclusive de notre histoire. L'Apôtre saint Jean l'a prophétisée dans le livre l'Apocalypse. Elle nous invite à nous rapprocher de Dieu. Ceux qui en ont une compréhension eschatologique n'ont d'autre place qu'au côté des résistants, de ceux qui pleurent, qui ont froid et faim et que leur silence appelle au respect. Ils ont un grand pouvoir sur le Cœur de Dieu le Père. Ils font monté, grâce à leur ignorance même, un tel cri d'Espérance en la Miséricorde que c'est la Justice divine qui prend le relais.

Le catholique est la lumière de la foi, de l'espérance et de la charité dans le monde et non pas pour le monde. Dieu seul est son maître. Il est la lumière qui éclaire la Loi et le Droit Naturel. Ces deux concepts sont universels. Ils sont de l'ordre de la vérité. Ils constituent le fondements des harmonies de la société, le terreau de toutes les cultures, le lait de toutes les résistances.



DE L'ENTREPRISE


L'entreprise est un projet anglo-saxon, elle est éclose dans l'Alliance Hanséatique, elle contenait en gestation toutes les institutions qui, aujourd'hui, menacent la dignité de la personne et celle des peuples. Un embryon de l'entreprise voit le jour au Royaume-Uni sous l'influence de la City, les filatures. Son développement se fait par paliers à toute l'Europe dont les ateliers royaux de Colbert (le colbertisme). Il se développe avec fulgurance dès les assignats et surtout la révolution bourgeoise de 1789. Elle triomphe au pris de par 6 000 000 de morts soit la moitié de la population du royaume de France.


[Ô ! quelle est belle cette république. Comme elle se vautre avec délice, au nom de la démocratie, dans le sang de l'enfant à naître clivé dans la constitution. L'ogresse !]


L'entreprise ne se comprend que dans une vue d'ensemble de l'économie pirate celle qui s'impose au peuple de France dès la fin du 17ème.  Elle se calque sur le schéma de la piraterie et, par extension, sur celui de l'esclavage romain d'où le trafique d'esclaves entre l'Afrique, l'Europe et les Amériques, elle suscite les razzia barbaresques financées par les commanditaires membres de la synagogue ébonite confirmé par les recherches historiques récentes initiées à l'intérieur de la communauté juive des USA. L'organisation de l'entreprise a été conçue pour réduire au plus près les frais de fonctionnement en vue de toujours plus de bénéfices et un accroissement de la productivité ce qui poussera à la société de consommation, au paternalisme, à la constitution de cités ouvrières véritables mâchoires infernales.


[Les Trente glorieuses furent une malédiction. Elles auront couvert l'effroyable et immoral concept du « progrès », une véritable aliénation.]


Le sur-développement des grands magasins a le même schéma que l'entreprise, ce qui aboutira aux grandes et hypers surfaces. Elles ne sont que de redoutables prédateurs sociaux et économiques. Elles se justifieront au nom du pouvoir d'achat, arrachant au pauvre ce qui lui reste de dignité, puisqu'elles le soumettent à des appétences dont il n'a nul besoin, laissant à d'autres l'autorité de ses revenus (crédit à la consommation). Certaines enseignes sont une honte sociale.


[Le concept de la grande entreprise est une fausse bonne solution sociale et économique. Elle est amorale.]


Si nous considérons, dans une vue d'ensemble, les grandes entreprises, les grandes surfaces, les concentrations financières et bancaires, l'institution de l'agence gouvernementale de l'emploi, l'institution médicale, nous obtenons une grille qui correspond au schéma de l'économie pirate établie sur le fondement de l'Alliance Hanséatique. C'est toujours le même esprit transgresseur. Esprit malin, sans conscience morale. Une économie fondée sur la spéculation, l'anonymat, le piratage, le mépris de la personne, le sacrifice humain légalisé, dont le mouvement de fond va vers la concentration des richesses, de la production dans un minimum de mains. Ce que révélera la pandémie Covid 19 qui est, en soi, un crime contre l'humanité. C'est cela le mondialisme. Il a deux visages menteurs : le libéralisme et l'étatisme. Les deux sont un unique et même mal. C'est le plus redoutable ennemi des peuples. Dès son origine, il contrevient, dans une intentionnalité claire, à la Loi et au Droit Naturel, à l'ordre de la création.


La crise de l'entreprise est intentionnelle, une opportunité pratique pour les mondialistes. C'est aussi, vue dans la lumière eschatologique, un mal nécessaire qui correspond au rejet instinctif du peuple, comme s'il s'agissait d'une tumeur maligne sociale sans remède réel.

Il vaut mieux cent artisans qui emploient dix ouvriers chacun qu'une entreprise qui emploie 1000 ouvriers. Les avantages pour la société sont bien plus fructueux et sains venant des cents artisans que venant d'une telle entreprise considérée comme un fleuron, mais qui est d'une grande toxicité sociale.


Considérant la situation présente des petites et moyennes entreprises en France, elles sont d'une nécessité vitale. La crise économique et sociale qui a commencé avec la crise de 1922, dont le décideur fut Joseph Kennedy, le père du Président U.S., ne cesse de se prolonger syncopée de faux plats et de chutes l'entraînant dans une descente pour disparaître totalement. Tel sera le sort de tout ce qui aura été entrepris en contrevenant intentionnellement à la Loi et au Droit Naturel soit au Bien Commun. La crise nouvelle qui s'amorce et qui entrera à son plein après les Jeux Olympiques, une récession bien plus dure que celle de 1929 se prolongera bien au-delà de 2025. Elle n'épargnera aucun peuple, aucune nation.


Les petites et moyennes entreprises s'affirmeront comme pôles de résistance. Elles seront au front du renouveau économique et social comme premiers acteurs. Cette crise économique a également une incidence dans l’Église qui doit perdre son fonctionnement actuel « imperium romano », c'est pourquoi il est prophétisé qu'elle perdra momentanément son existence sociale. Elle est l'un des instruments de purification de l'humanité. Les grandes entreprises y compris les multinationales sont condamnées à l'autodestruction qu'elles ont elles-mêmes mis en place. Le premier choc pétrolier est leur œuvre dans la logique de la crise de 1929 ainsi que les crises économiques et financières qui se suivent.


[Ces entreprises mondiales, intercontinentales sont toutes soumises au dicta des consortiums financiers et bancaires. Elles sont membres des conseils décisionnaires et exécutifs du mondialisme.]


Les petites et moyennes entreprises ont une légitimité morale par leur implantation sociale de proximité. Leur taille les garde de s'éloigner de la recherche du Bien Commun. Elles sont une propriété privée à vocation collective, sociale.


L'employé et l'employeur ont une commune relation dans le travail avec la matière et le temps (cf. article ici). Cette vérité objective est une donnée universelle. Les mondialistes veulent parvenir à l'effacer de la mémoire collective. L'employé comme l'employeur utilisent la matière et le temps à des fins légitimes d'enrichissement personnel, mais au bénéfice de la collectivité. Il y a une interdépendance et une interrelation à l'intérieur de l'entreprise et à l'extérieur. Cette relation entre les acteurs de l'entreprise avec le temps et la matière doit redevenir le fondement à partir duquel le renouveau économique et social s’élèvera. Il réincorporera dans cette réflexion le Droit Naturel et la Loi Morale Naturelle. La question du respect de l'homme et de Dieu ne se posera plus, puisqu'elle en découlera d'évidence. Le dialogue que l'homme restaurera avec le temps et la matière permettra également le retour des harmonies pour l'ensemble de la société qui s'étendra à tous les peuples et cultures. Les fondamentaux sociaux : justice, équité, solidarité apparaîtront non plus comme une conquête à entreprendre, mais bien comme une nécessité découlant de ce dialogue restauré de l'homme avec le temps et la matière.


[La matière et le temps alertent nos sens dès la formation du premier génome. Ils sont participants de notre conscience d'exister. Ils sont tous les deux des créés ex nihilo. Ils n'existent pas l'un sans l'autre. Ils sont les impératifs de l'homme qui, lui, est ordonné à sa vocation et sa mission première : exercer sa souveraineté sur la création.]


L'entreprise génère deux modes de relations indispensables mais autonomes :

  1. À l'intérieur devrait dominer l'intelligence collective tout en maintenant les principes d'autorité du chef d'entreprise que nécessite un bon fonctionnement et l'indispensable concept de la responsabilité.

  1. À l'extérieur dominent les relations commerciales, administratives et sociétales dont la culture.

  2. [L'administration est devenu un instrument d'oppression. Elle est illégitime, antisociale, car elle s'éloigne des intérêts fondamentaux du peuple. Elle est une source d'épreuves, de souffrances. Elle perd ses liens quant à la recherche associée du Bien Commun. Ses tentacules doivent disparaître.]


NÉCESSITÉS ET INTERRELATIONS :


Il y a plusieurs nécessités qui justifient l'organisation de petites et moyennes entreprises. Elles relèvent de la loi naturelle et de la vocation surnaturelle de l'homme. La condition humaine n'est rien d'autre que l'histoire d'une sainteté acceptée ou refuser. Le travail est un élément de cette condition, et il correspond à des nécessités naturelles à laquelle chacun se doit de répondre quant aux besoins personnels et collectifs. Aucun homme n'est supérieur à l'autre. Il y a toutefois une hiérarchie naturelle et de bon sens issue de la nécessité d'un Bien Commun qui est toujours à rechercher. Retrouvons en les fondamentaux. Les interrelations entre travail, société doivent être identifiés et remises à leur place. L'homme a besoin du travail pour s'accomplir de l'intérieur de sa mission royale. L'entreprise petite et moyenne peut y répondre parfaitement dans un ensemble harmonieux d'une société qui, sans tomber dans un angélisme suicidaire, est dans la nécessité de retrouver la voie de l’apaisement, de la paix ce qui ne se peut sans la vérité, l'amour et la justice.



RÉSISTER À LA CRISE :


Toute résistance est basée sur le principe de solidarité, soutenue par l'exigence de la justice et donc par la défense des libertés. Ce qui se résume par le respect et l'application de la Loi Morale Naturelle et le Droit Naturel.


  1. Les relations à l'intérieur de l'entreprise passe par un dialogue permanent dans lequel les informations sur sa situation financière, sa stratégie commerciale, le livret de commandes sont communiquées. Ce dialogue et ces informations favorisent un climat de confiance, de respect. Il développe un esprit de solidarité et contribue à l'émergence de l'intelligence collective. Il importe beaucoup que l'employé ait des conditions optimales ce qui le fidélise, et suscite une attitude de défense de son entreprise. En préservant l'entreprise en tant que bienfait collectif, la préservation de l'emploi est renforcée.


  1. Il serait utile de reconsidérer le principe de la participation de telle façon que les employés puissent entrer dans le capital de l'entreprise soit par un apport financier direct soit en considérant l'excellence du travail et l’ancienneté, puisque le partage du temps et de la matière est commun à l'employé et à l'employeur.

  2. La participation au capital oscillerait au tour des 30% du capital initial ou de la valeur de l'entreprise. L'avantage serait de freiner les hâtives décisions de mise en liquidation judiciaire et d'empêcher ou de rendre plus difficile la mainmise des fonds spéculatifs et les fusions ou le rachat et leur mise en vente par secteur ce qui est la caractéristique la plus évidente de l'économie pirate.

  3. Le rôle de l’État agirait en considérant l’entreprise comme un bienfait collectif se déclarant usufruitier en droit du sol de France. Il lui serait légitime à intervenir pour tout investissements étranger à la nation et ne devant pas dépasser les 5 à 8% du capital pour une durée déterminée.

  4. Il est prudent que l'entreprise parvienne tout ou partie à s'autofinancer, et que le personnel puisse donner son avis sur les investissements ainsi que sur l'organisation du travail. Veiller à ce que ces investissements correspondent aux besoins réels sans qu'ils ne mettent en danger l'emploi.

  5. L'entreprise doit tendre à une plus grande indépendance vis à vis de sa banque dont la mission n'est pas de substituer au chef d'entreprise ni à son conseil.

  6. L'entreprise doit se garder des compromis faciles, éviter de tomber dans l'assistanat.

  7. La réduction des prélèvements obligatoires pourrait être facilement applicable par l'imposition d'une taxe sur les transactions de biens. Ce soulagement devrait permettre de sécuriser davantage l'autofinancement.

  8. La liberté d'entreprendre doit être renforcée non seulement par la constitution, mais s'appliquer réellement face à l'omniprésence étouffante de l'administration qui n'a pas imposer de dicta. Les réglementions doivent être claires, simplifiées de telles manières qu'elles ne freinent pas l'expansion économique ni ne mettent en danger le plein emploi. Un licenciement autres que pour que pour faute professionnelle donne droit à des indemnités égales au dernier salaire, son réembauche est à la charge de la fédération professionnelle, le chômeur ne pouvant pas refuser plus de trois emplois au-delà desquels son allocation serait arrêtée.

  9. Les entreprises se constitueraient en fédérations professionnelles. Elles assumeraient, en totale autonomie, la formation professionnelle à partir du lycée et l'apprentissage, la couverture sociale, la rémunération des chômeurs, les retraites qui, elles, seraient soutenues par un fond garanti par l’État. Elles ne devraient pas être inférieures au salaire minimal.

  10. Cette nouvelle structure fédérative abolirait les anciennes. Elle aurait pour mission de facilité les rapports de l'entreprise avec les administrations. Elle seraient dans l'obligation de créer une caisse de solidarité et d'investissement, alimentée par un apport « primaire » par les employeurs et les employé à la hauteur de 75%, favorisant la création de nouvelles entreprises en les accompagnant dans leur développement.

  11. Les achats de matériaux pourraient être regroupés dans le cadre de la fédération de manière à obtenir une réduction des coûts.

  12. L'emprunt de matériel ou sa location à minima pourrait être également envisagé dans le cadre de la fédération dans un esprit de solidarité et de bienveillance.

  13. La fédération garderait la main sur son administration interne et celle des entreprises membres. Elle serait alors la personne morale devant répondre des agissements de ses membres face à l’État et à la Justice. Ce qui l'obligerait à veiller à ce que ceux qui souhaitent créer leur entreprise aient les compétences nécessaires et une vie morale irréprochable.

  14. Le code du travail reposant sur un droit commun, doit pouvoir s'adapter en fonction des spécificités et réalités propres à chaque branche professionnelle. Les conseils de prud’hommes devraient être constitués de retraités expérimentés et sages de l'intérieur de la fédération, laissant aux requérants la possibilité de recourir à d'autres instances extérieures à la fédération, mais après le préalable du conseil prud’homal. Les bases minimales de dédommagement seront fixées par l’État qui ne pourra pas imposer de plafond.

  15. Les cotisations sociales devant être décidées par un conseil composé d'un nombre égal de représentants des entrepreneurs et des employés actifs et retraités excluant la majorité relative ; ce qui obligerait chacun à l'intelligence collective et au compromis, en veillant à ce que les tractations se déroulent à la connaissance de tous les intéressés.

  16. Le conseil de la fédération serait composé d'un nombre égal de représentants de chefs d'entreprise, d'employés et de retraités. Le président et le deux vis-présidents aurait un mandat de trois ans non renouvelable.


Ce ne sont-là qu'une grille possible pour base de réflexion. Elle s'inspire de la Doctrine Sociale de l’Église Catholique.



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1 Hérésie du à Arius théologien d’Alexandrie au IVe siècle après J. C.

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