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Photo du rédacteurPierre Aubrit

VICTOIRE DE TOLBIAC - QU'EST-CE QUE L'HOMME ? P.C. AUBRIT St POL

Dernière mise à jour : 21 oct.



INTRODUCTION

 

Qu'est-ce que l'homme ? Cette question est similaire à : qu'est-ce que la vie ? qu'est-ce que vivre ? Nos sociétés modernes sont incapables d'y répondre tant elles sont oppressées par les idéologies éloignées de plus en plus de la nature de l'homme tout en prétendant l'exalter. Un état de fait qui se constate dans toutes les religions, singulièrement, le sommet de la hiérarchie de l'Église qui gangrène le Corps mystique du Christ. Le Vatican croit-il encore en Dieu ?

Alexis Carrel, l'auteur de L'Homme, cet Inconnu est d'actualité. Personne ne semble pouvoir répondre à cette question aujourd'hui : qu'est-ce que l'homme ? Il n'est plus vu ni compris dans son unité, mais en fonction d'intérêts illégitimes, d'idéologies particulières. Il est victime de la relation que chacun a avec l'autorité de la vérité.

Dans nos sociétés néo-païennes et apostates, l'homme est étranger à lui-même. Son individualisme lui a fait perdre la conscience de son être, emporté par un tel désordre moral qu'il ne reconnaît plus son propre visage : a-t-il encore une identité ? Il en est venu à ne plus se sentir responsable de ses actes, la justice et le législateur portent une lourde responsabilité dans cet effondrement métaphysique. L'irresponsabilité morale et judiciaire est devenue une norme ; la recherche de la vérité importe moins que la satisfaction idéologique. Il faut bien trouver un dérivatif au poids écrasant du mensonge personnel.  L'homme progressiste du rapproche du néandertalien. Les progrès scientifiques et technologiques ne justifient pas la perte du sens du bien et du mal.

La Renaissance continue d'agir telle une bombe atomique à fragmentation. Sous couvert de culture, de liberté, de progrès, les peuples retournent au paganisme, préférant tout plutôt que l'Évangile ! Nous assistons à l'émergence d'une société de sous-produit du tiroir-caisse, incapable de soutenir ni l'histoire, ni la foi, ni l'espérance, une société d'anges-démons. Une structure étatique, institutionnalisée, ne reflétant plus l'image de la société divine constitutive de la Très Sainte Trinité. Elle s'aligne sur les royaumes du Dam ; toujours en révolte, elle sombre dans le désespoir sécuritaire.  Elle se configure à l'enfer, à l'image de Sodome et Gomorrhe, attendant son prince : l'Antéchrist.

Les élites, actrices de cette filiation pestilentielle, subordonnent l'homme à des appétits désordonnés et avilissants. Elles exercent leurs pouvoirs derrière un État anonyme, illégitime, pervers, transgressif et inhumain. Le concept même de "patriote" (concept révolutionnaire) est l'un des facteurs de cette inféodation dissimulée, qui l'enferme l'homme dans un miroir, à l'image de l'alouette : individualisme, liberticide, selon un relativisme moral d'autant plus redoutable qu'il triomphe. Il a oublié qu'il est un sujet libre, projet d'amour et de vérité. Il se satisfait, du moins pour les classes dirigeants et argentées, de sa sécurité, du confort de ses fanges, et manipule les peuples dans cette illusion.

Le message évangélique est tout autre. Il lui rappelle le chemin de sa libération. Osons traverser la Mer Rouge, quittons l'Égypte. Il n'y a pas d'autre chemin. Il n'y a pas d'équivalence entre les religions, celui qui, dans l'Église, porte un tel message est un  apostasie.

Qu'est-ce que l'homme ? La question demeure sans réponse depuis la mort du Pape Benoît XVI, et elle n'est plus posée. Elle reviendra, tel un boomerang, avec la justice divine !

 

 

 

QU'EST-CE QUE L'HOMME ?

 

Qu'est-ce que l'homme ? 

La question est une incongruité pour nos sociétés anonymes, qui se donnent à la dictature du relativisme. Seul, le fidèle a les moyens et le devoir d'y répondre ; il reprend le chemin là où le dernier des justes aura reçu le repos bienheureux. Le Pape Benoît XVI, le dernier pontife canoniquement élu, quant au nouveau pontife, il sera désigné par Jésus de telle façon que sa légitimité sera indiscutable. Le fidèle ne peut répondre à cette question, qu'en reprenant le chemin tracé par ses Pères et fixer comme eux son regard sur le Crucifié et l'Ascension.

 

L'homme est-il une personne ?

À quel moment le devient-il ?

Il n'y a pas longtemps, le Saint Siège affirma qu'une personne n'est reconnue comme telle qu'à la condition que son corps physique soit constitué[1]. Est-ce vrai ? Si c'est le cas, ceux qui prônent le dépistage prénatal, l'eugénisme, l'euthanasie ont raison. Les corps difformes, sont-elles des personnes ?

Un fœtus, est-il une personne ?

L'avortement, peut-il être condamné ?

L'homme, peut-il se sélectionner lui-même ?

Le cardinal Bergoglio, n'a-t-il pas validé la fabrication de vaccins à base de cellules humaines extraites de fœtus vivants, et qu'il faut ensuite tuer, comme cela se fait pour obtenir le foie gras d'une oie ?

Qu'est-ce qui définit une personne ?

Le concept de la personne s'efface sous le poids des idéologies dominantes, et au profit de l'individu anonyme, utilitaire, consommé comme n'importe quelle énergie ou source de profits, objet de jouissance, puis jeté après usage[2]. Un consommable jetable. C'est là une situation réelle que nous produisons, soit le résultat du relativisme moral, l'intrusion de l'amoralité comme norme ; ce que nos lois autorisent, protégeant des pratiques infra-humaines. Pourquoi avoir condamné les nazis, puisque nous faisons pire qu'eux ? Le dénigrement du travail et le développement exponentiel de l'assistanat social que renforcera le crédit social est un facteur qui contribue à l'effacement du concept de la personne, de sa dignité. Ce sont les idéologies portées par les syndicats et soutenus par les sociétés financières anonymes qui veulent et soutiennent ce programme : dévaloriser le travail et le travailleur, afin de le réduire en un nouveau cerf, et surtout, qu'il y adhère de bonne volonté, qu'il en devienne le promoteur. Le futur "Tonton Macoute". 

Nous sommes en présence d'une volonté qui efface la notion même du bien commun. L'homme, le citoyen, en tant qu'acteur social, voit son identité naturelle et surnaturelle floutée, incertaine, ce qui explique le développement de la schizophrénie et de la paranoïa[3]. Le cheval de Troie de cette désagrégation est la pratique totalement immorale de la spéculation et du prêt à usure que renforcera le crédit social.

Les oligarques mondialistes annoncent un monde merveilleux, régi par leur dictature sanitaire et sociale, proche du model de la Chine communiste. Récemment, un cardinal en poste au Vatican nous demandait de soutenir ces oligarques. Quel dieu est-il adoré au Vatican ?

 "Ecce homo" ! Voici l'homme ! Devenu un producteur de richesses, consommateur et consommé, un utilitaire, coupable de prendre conscience de son existence et de résister, alors qu'il lui est proposé une litière pour veaux[4]. Il n'est pas question de lui permettre de réfléchir sur sa condition ; tout est fait pour l'en détourner.

Les serviteurs de la Bête n'ont d'autre but que d'asservir les populations, au seul profit de l'élite, selon le principe de la pyramide inversée : l'élite occupe les étages supérieurs, la pointe vers le bas, ainsi, elle élargit l'espace entre eux, les décideurs "sages", et les peuples soumis qu'ils exploitent sans retenue. La majorité des peuples, à moins que Dieu intervienne avant, pour ne pas avoir dit "NON", court vers son maître.

Il y aura toujours des irréductibles. L'individu ne peut être réduit que s'il consent à la servitude "assommoir"[5]. Les oligarques pensent avoir une parade en banalisant le mal, en cultivant le blasphème, la transgression, la profanation, le sacrilège ; pourtant, ils ont déjà perdu. Ces serviteurs de la Bête, en exposant leur parti luciférien lors de l'ouverture des Jeux Olympiques de Paris, ou comme à Toulouse ou bien encore lors de l'inauguration du tunnel du Saint Gothard ont confirmé leur marche royale vers l'Antéchrist. Un impitoyable mécanisme d'inversion, de transgression, de damnation est à l'œuvre.

 

Quelle est la cause de l'homme ?

1)    L'homme est-il le résultat d'un processus d'évolution au sein de l'ordre animal ?

2)    S'est-il auto-engendré ?

3)    S'est-il lui-même appelé à la vie ?

4)    Qu'est-ce qui le distingue des autres vivants ?

5)    Faudrait-il prendre au sérieux la proposition de l'évolutionniste, prétendant qu'un éléphant est une baleine qui aurait refusé de retourner à l'océan ? Sans doute avait-elle ses menstruations.

6)    Comment un cétacé aurait-il pu survivre sans eau durant tout le temps de son évolution ?

7)    Comment les nageoires du cétacé auraient-elles pu devenir des pattes ?

8)    Pourquoi y a-t-il encore des cétacés ?  

9)    Auraient-ils décidé de tourner le dos à l'évolution ?

10) Pourquoi, l'ornithorynque, souvent cité en exemple par les évolutionnistes, ne montre-t-il aucun signe d'évolution ?

11) Comment un animal qui ne possède que l'instinct et n'a pas conscience de sa propre existence, aurait-il pu désirer quelque chose de différent de sa nature ?

Tout homme de bon sens sait qu'un éléphant trompe énormément.

 

Genèse 2, 26-27 et 3,7-15

" Il dit ensuite : Faisons un homme à notre image et à notre ressemblance. […] C'est à l'image de Dieu qu'Il le créa : Il les créa mâle et femelle." […] " Le Seigneur forma donc l'homme du limon de la Terre, et Il souffla sur son visage un souffle de vie, et l'homme fut fait âme vivante." 

Les découvertes archéologiques récentes confirment l'historicité de la Bible[6], comme l'installation des Hébreux en terre d'Égypte ; pourquoi ce qui est historiquement vrai ne le serait-il pas concernant le récit de la création ? Moïse, rédacteur du livre de la Genèse, aurait-il menti ? Aurait-il eu une conception fragmentée de la vérité, de type cartésien ?

Peut-il être soupçonné de tromperie, voir nier son existence historique[7] ?

Pourquoi ne pas accorder une validité au sens littéral du récit, comme l'enseigne le Pape Pie XII ? Quant au sens allégorique, il se rapporte au sens intérieur, théologique, mystique de la Bible. Ce sens allégorique n'enlève rien à l'autorité du sens littéral ni à l'autorité de la vérité du réel. J'ai démontré que la matière primordiale inconnue, ainsi que le temps, avaient une cause extérieure, une cause intelligente. Pourquoi, cette cause, qui est Dieu, ne serait-elle pas capable de faire l'homme directement à partir du limon, sans passer par une phase d'évolution animale ?

Les théories évolutionnistes ne reposent sur aucune démonstration scientifique probante. Elles sont élaborées essentiellement à partir d'un narratif mouvent, selon les interprétations d'éléments non significatifs, sortis de leur contexte et à la sémantique manipulée. Un discours qui fait moins appel à la raison, mais qui répond au besoin de sécuriser le mensonge socialement admis plutôt que d'admettre l'erreur, d'autant que l'objectif est de détourner l'homme de Dieu. N'est-il pas de foi que Dieu est Tout-Puissant et infini ?

Le Créateur crée la matière et le temps ex nihilo, et Il ne serait pas capable de faire l'homme à partir du limon ?

Si nous retenons les théories évolutionnistes, ne devrions-nous pas alors considérer que l'homme est le fruit accidentel d'une chaîne évolutive animale s'étendant sur des millénaires, elle-même le produit accidentel du minéral ? Un accident très intelligent et bienveillant ! La difficulté de ce raisonnement réside dans le fait que, comme démontré supra, la planète Terre n'aurait pas plus de 20 000 ans. Un autre fait observable :  ces théoriciens développent leur théorie sans jamais tenir compte des implications collatérales. Ils manquent de rigueur intellectuelle. Que font-ils de l'autorité des faits, du réel ?

Me voici déchaîné ! Il ne me reste plus qu'à ramasser les chaînons brisés pour les refondre ; je ne suis pas certain qu'ils soient recyclables. Qu'en feront les écologistes ? Sans doute, reformeront-ils la chaîne et enchaîneront ceux qui adhèrent à leur vision émasculée du monde, au nom d'une liberté enchanteresse, les amenant à leur dieu.

 

Le bon sens génétique

Il est entendu que l'objet ne transmet que ce qui est propre à sa nature. Comment un simple existant, qui n'a pas conscience de son existence, engendrerait-il ou créerait-il ce qu'il n'est pas et ce qu'il n'a pas ? Les l'évolutionnistes nous opposent la proximité chromosomique entre l'homme et certains animaux pour tenter de justifier leur théorie. Oui, mais cela n'induit pas que cette proximité prouve qu'il y aurait eu une évolution de l'animal à l'homme. Il n'est pas surprenant à ce qu'il existe un fondement commun chromosomique entre les espèces animales de la terre et l'homme, du seul fait, qu'il y a une unique volonté créatrice, et que les animaux de la planète Terre, à l'origine, sont issus d'un couple exemplaire tiré du limon. Nul n'a pu prouver par l'ADN de l'animal, la transmission d'informations susceptibles d'ordonner cette évolution vers l'homme ni entre les espèces animales, ce qui ne peut arriver sans l'intervention humaine, et lorsqu'il y parvient, le sujet est stérile. De même, aucune trace mémorielle d'informations prouvant le passage évolutif de l'animal à l'homme n'a été trouvée dans la chaîne ADN humaine. Nous touchons-là du doigt, une fois encore, l'évidence : le refus de l'autorité de la vérité du réel, cette maladie qui pousse le sujet à se laisser enfermer dans l'idée de l'objet, et donc de donner consistance à ce qui n'a aucune existence : les faits, rien que les faits. Il est essentiel, dans la quête de la vérité, d'accepter et de reconnaître l'autorité de la non-connaissance. La Providence divine, en imposant des limites, préserve des délires d'orgueil celui qui accepte le joug de son Seigneur.

L'homme est fait de la main de Dieu, séparé de tout lien génétiques avec les ordres minéral, végétal et animal, tout en étant dans la continuité d'une communion originelle. Sa souveraineté le place au cœur d'une interdépendance avec la création ; une interdépendance qui trouve son principe en Dieu Créateur, mais qui a été blessée et s'est effondrée dès l'instant où le péché originel a été consommé par Adam et Ève. Les physiciens quantiques se sont approchés de la Révélation et ont pu conclure qu'il y a bien eu un effondrement métaphysique dans tout l'univers. Pourquoi s'entêter à rejeter le récit de la création du livre de la Genèse ?

 


 

CE QU'EST L'HOMME

 

 

L'identité de l'homme 

L'identité de l'homme social s'affirme par son corps physique, qui le distingue des trois ordres. Il est un mammifère et possède les caractères définissant le genre humain selon l'ordre naturel : position verticale, mains adaptées au faire, cerveau le plus développé du vivant. Il est doué de la parole, capable de choix ,donc de discernement, et de conceptualiser. Il est mâle ou femelle, une identité qui ne peut être légitimement remise en question. Quiconque transgresse cet interdit commet un des aspects singuliers du péché contre l'Esprit et une faute très grave, puisqu'elle porte atteinte à l'ordre de la création institué par Dieu.

 

De La Personne

En quoi l'homme, est-il une personne ?

Le mot "homme" a trois racines : indo-européenne (ghyom-),  grecque (khtôn) et latine (humus). Ces trois racines ont un sens identique : terre, limon. Le mot "homme" signifie "Le vivant qui vient de la terre, du limon". Ce sens commun, universel, est enfoui dans la mémoire ontologique et condamne les théories évolutionnistes. La race humaine ne vient pas de la cuisse d'une souris "qu'on attrape par la queue et que l'on montre à ces messieurs…". Le mot "personne" a une racine étrusque (phersu) qui signifie (masque). Les Romains  désignaient le (masque) par (persona) qui prit sens de rôle, de caractère et d'individu. Il ne se rapporte qu'à l'homme. Une personnalité est un individu qui se distingue surtout par les traits de son caractère. Plus tard, après la révolution, ce terme désignera également une fonction publique au service du bien commun par expansion du langage populaire.

 

On achève bien l'évolutionnisme !  

a)    Le langage :

Comment expliquer le procédé par lequel le règne animal aura transmis à l'homme la faculté du langage ?

Qui peut encore ignorer qu'un petit d'homme a besoin d'entendre parler pour activer la fonction du langage articulé ?

Quel animal aurait pu converser avec l'homme en langage articulé, par exemple, au sujet du vent ?

 

b)    Valeur morale de l'acte :

Quelle créature animale a enseigné la valeur morale et surnaturelle de l'acte?

Comment les nunuches féroces de la pensée infra-humaine profonde expliquent-ils que seul l'humain a conscience de son existence et donc de la morale ?

Par quel procédé l'homme, a-t-il la capacité de faire le bien ou le mal, d'aimer ou de haïr, de construire ou de détruire, de défendre sa liberté et d'annuler ou nier celle de son prochain, de dire la vérité et de mentir ?

D'où cela vient -il ?

Qu'est-ce qui fait qu'un homme soit une personne ?

À quel moment le devient-il ?

Qu'est-ce qui fait que cette personne soit tout à la fois semblable à son prochain et si différente ?


Trois ordres

Les trois ordres se distinguent par leur nature et leur état :

 

1-    Le minéral n'a pas de forme propre ni d'âme. Il possède une "mémoire-forme" contenant les informations le soumettant aux lois mécaniques. Il est un ordre et non pas un règne.

 

2-    Le végétal fait partie du vivant. Il constitue un ordre, mais il n'est pas un règne, car il n'en a pas les capacités. Il se compose de multiples espèces, ayant chacune leur forme propre correspondant à des qualités spécifiques. Chaque espèce a sa mémoire végétative, donnant la croissance et sa capacité d'adaptation.

 

3-    L'animal fait partie du vivant. Il constitue un ordre, et non un règne, car il n'en a pas les possibilités. Il se décompose en de multiples espèces, qui se caractérisent par des formes différentes correspondant à des qualités spécifiques. Chaque espèce à sa mémoire sensitive. Toutefois, il semble y avoir deux classes au sein de cet ordre, selon le récit de la création : la première est constituée des animaux terrestres, la seconde classe des animaux marins et aériens.

 

Nous admettons que la forme est communiquée à chaque individu par l'âme végétative pour l'ordre végétal dont les capacités de croissance viennent de la mémoire végétative. Quant à l'ordre animal,  la forme pour chaque espèce est communiquée par l'âme sensitive, et son mouvement par la mémoire sensitive qui est constitutive de son ADN. Toutefois, le premier couple des espèces animales terrestres a été fait de la main de Dieu et non créés comme ceux de la mer et de l'air (cf. v. 25, ch. 1er Gn.) "Dieu fit donc les bêtes de la terre selon leurs espèces…". Il les "fit".

Les animaux ne possèdent pas de faculté intellective, mais seulement informative basée sur l'instinct et de l'automatisme. Ils n'ont pas de faculté réflexive, ils ignorent leur propre existence, et n'ont pas de libre arbitre. Un animal est dressé, il n'est pas éduqué.

Quelle que soit la perspective sous laquelle les théories de l'évolution sont étudiées, aucune ne résiste dès qu'elles sont confrontées à l'autorité de la vérité du réel. L'homme est fait ( cf. v. 26 ch. 1er Gn.) "Il dit faisons un homme à notre image et à notre ressemblance…" il est une création spécifique (cf. v. 27 ch. 1er Gn.) "Dieu créa l'homme à son image…", ce passage précise et souligne le caractère surnaturel de cette image. Il n'est pas le résultat d'une évolution qu'elle soit longue ou courte. L'animal ne peut donner que ce qui est propre à sa nature. 


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[1] Le pape François. Cette affirmation vient de l'empereur Marc Aurèle, empereur philosophe, il se réclame du stoïcisme, il posera les principes de la personne, qu'il définit d'abord par le physique, parce que les connaissances scientifiques sont élémentaires quant à la génétique, ignorant tout de l'ovule, du spermatozoïde et du génome. Il est ahurissant que le pape François reprenne cette définition malgré les avancées scientifiques philosophiques et théologiques ??? Mais faut-il s'en étonner !

[2] Ce qu'illustrent les divorces à vitesse exponentielle.

[3] La cause majeure des violence conjugales.

[4] Propos du Général De Gaulle

[5] L'Assommoir d'Émile Zola.

[6] Site : ARCHEOS

[7] Selon le Père Antoine Moussali, dans son étude : La croix et le croissant, ed. de Paris, démontre les manipulations sémantiques de la religion musulmane, dans la technique d'écrire les noms de personnages bibliques, de telle manière de leur enlever toute réalité historique.

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