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#SAINT JOSEPH #ROI DU NOUVEL ISRAËL de #Pierre-Charles Aubrit Saint Pol



#Jacob épousera Rachel fille de Laban, frère de Rebecca, chez qui il séjournera quatorze ans. Rachel lui donnera Joseph, mais avant lui et après une période d’infécondité, elle offrit à Jacob sa servante (esclave) Bala qui enfanta Dan, dont le clan se révoltera contre Yahweh et obtiendra d’Aaron, à son corps défendant, le culte du veau d’or1.

Rachel donnera un second fils à Jacob, Benjamin, elle mourut des suites de cet accouchement.

C’est suite à la naissance de Joseph que Jacob décidait de quitter la maison de Laban. Jacob aura été la cause instrumentale de la prospérité de la maison de Laban2, Joseph sera celle de la prospérité de la maison de son père et il en sera de même pour la réconciliation entre les deux fils d’Isaac, Jacob et Esaü et celle qui empêcha Laban de faire la guerre à Jacob. Joseph est un signe de paix et de justice.

Jacob s’était exilé auprès de Laban pour échapper à la colère d’Esaü. Joseph sera vendu sur le conseil de Juda, l’ancêtre de David, pour lui sauver la vie.

Abraham, Isaac, Jacob et Joseph sentaient la Présence de l’ange de YHWH et tous eurent à souffrir. Mais pour le patriarche Joseph, son épreuve sera plus lourde, puisque ses frères nourriront tous les ressentiments envers lui de haine, jalousie. En se laissant guider par Satan, nourrissant des intentions mauvaises et passant à l’acte, ils ouvrirent un champ morphogenèse dans ces résonances néfastes qui sera la base de tous leurs ressentiments et violences envers leurs prophètes et finalement par le

Sanhédrin envers Jésus et tous les chrétiens. Dieu se servira de la colère de ses frères pour accomplir son projet surtout après que Joseph aura fait connaître ses songes : « Ecoutez, je vous prie, le songe que j’ai eu : Nous étions à lier des gerbes au milieu des champs ; et voici, ma gerbe s’est levée et s’est tenue debout, et vos gerbes l’ont entourée et se sont prosternées devant elle. » […] Il eut encore un autre songe, qu’il raconta à ses frères. Il dit : « J’ai eu encore un songe : le soleil, la lune et onze étoiles se prosternaient devant moi. » (Gn.37, 6-9).

La descente de Joseph dans une citerne sèche, attendant d’être vendu aux descendants d’Ismaël qui vivaient de la traite humaine, était une annonce de l’espérance du salut, mais ici il s’agit de l’attente de l’Immaculée dont saint Joseph sera le répondant, la cause instrumentale au milieu de son peuple. Cette descente dans la citerne peut également s’appliquer aux vrais fidèles du Christ, oubliés, marginalisés par les esprits du monde. C’est l’abaissement intérieur d’un seul juste que l’Immaculée rejoindra l’homme pour donner chair à son Dieu ; c’est pourquoi la citerne ne pouvait qu’être sèche, car Marie est la nouvelle rosée qui irrigue les cœurs durs, ce que verra le prophète Elie lors de la grande sécheresse. Les récits des vies de Jacob et de Joseph, nous montrent que si les Hébreux forment un Peuple élu, mais que Dieu se garde la liberté d’une autre élection distinguée en son sein, une élection qui ne porte de fruits que parce qu’elle est en racinée dans la croix, dans le sacrifice du Christ, sachant que la vie surnaturelle n’est dépendante ni de l’espace ni du temps. On comprend la rage des enfers quant à ses âmes élues qui sont toutes ordonnées au salut final, ne soyons pas surpris de leurs épreuves qu’ils supportent jusqu’à l’héroïsme.

Les deux songes de Joseph se lisent dans le temps de sa génération lors de leur migration en Egypte, mais leur accomplissement se réalisera dans la mission de saint Joseph : être le père putatif de Jésus-Christ, du Verbe incarné. Si le patriarche Joseph a été le garant des greniers de pharaon, son vizir, saint Joseph sera le gardien du Pain de Vie ; mais sa mission n’est pas achevée, elle connaîtra un autre accomplissement.

Si le patriarche Joseph a été le bâtisseur des greniers d’Egypte et le serrurier ainsi que l’auteur de l’alphabet hébraïque afin que la Révélation adamique3transmise oralement ne se corrompt pas par l’idolâtrie et la magie égyptiennes. Saint Joseph est le gardien du Pain de vie (grenier), celui du secret du Roi (silence et serrure), il est le bâtisseur invisible du premier autel jamais levé – d’où son métier de charpentier – (l’Union Sponsale, autel sur lequel les trois Cœurs Sacrés vont se communier d’amour et activer l’Amour de Charité dont le premier récipiendaire sera saint Jean-le-Baptiste lors de la visite de Marie à sa cousine Élisabeth). C’est pourquoi saint Joseph est le patron et protecteur des purs, des abstinents et celui de la famille chrétienne.

C’est à dix-neuf ans que saint Joseph, après une longue purification de dix-huit ans, au terme de laquelle il se donne à Dieu, qu’il est assumé par le Père éternel pour remplir sa mission d’époux et de père dans la Sainte Famille, qu’il peut être alors la cause instrumentale de la venue de l’Immaculée sur la terre du vivant en la naissance de la Vierge Marie et, ce sera quatorze ans plus tard qu’il l’épousera, soit à l’âge de trente-trois ans, l’âge auquel Jésus commencera sa vie publique.

Saint Joseph meurt à l’âge de soixante-six ans sans doute dans la soixante-septième année liturgique selon le calendrier hébraïque.

A dix-neuf ans, son corps spirituel est totalement accord avec son corps physique et son âme. Il est saint. C’est ce que signifie son âge : 19 c’est 3 fois 6 + 1, c’est-à-dire le chiffre d’homme plus le sceau de Dieu, son Jour, son union avec Joseph ; c’est pourquoi il est : le Maître du Sabbat. L’âge de sa mort le rappelle : 66 ans dans l’année de ses 67 ans selon le calendrier hébraïque ; il est pleinement homme 66, mais accompli 7, et prêt pour son assomption, c’est ce qu’enseigne la tradition ; Jésus, à près sa Résurrection, le réunira à sa dépouille qu’Il glorifiera et l’emmènera directement auprès de son Père des Cieux. C’est aussi la raison pour laquelle l’Église le nomme terreur des démons et patron de la bonne mort.

Le mission du Temple de Jérusalem se termine quand saint Joseph, le charpentier, atteint l’âge de dix-neuf ans, ce n’est pas Jésus qui décide sa destruction, c’est le Père éternel par la cause efficiente de saint Joseph, puis qu’alors l’Immaculée est parmi nous. C’est pourquoi, l’année suivant le massacre des Saints Innocents là, où est enterrée Rachel – morte des suites de la naissance de Benjamin, à cause du massacre de la ville de Sichem, violant le traité entre Jacob et Hémor à la suite du viol de Dina – Zacharie, le père de saint Jean-le-Baptiste, sera assassiné après son service du Temple sans doute à l’instigation de pharisiens et de sadducéens4.

Saint Joseph recueille les fruits de tous les patriarches depuis Adam et de tous les hommes justes qui, de par toutes les nations et peuples, ont gardé la mémoire d’une Promesse de délivrance et, sont demeurés dans le respect de la loi naturelle. Cette fruition s’accomplit en lui, elle donnera tout son suc par anticipation au pressoir de la croix, passion silencieuse de ce saint, père putatif de Jésus qui n’aura de cesse de s’unir d’intention à la Passion de son Rédempteur. C’est aussi par lui que la fruition du sacerdoce royal éclora en la sainte Vierge Marie, par lequel elle obtiendra du Père éternelle la mort de son Fils Jésus qui ne pouvait mourir sans la prière et la Transverbération de sa Mère au pied de la Croix, ce qui lui vaudra d’être la Mère de l’Église. Saint Joseph a été présanctifié, ce qui fait de lui avec Joachim et Anne et Marie ainsi que saint Jean-le-Baptiste, les premiers prêtres selon le sacerdoce royal défini par les Pères du Saint Concile Vatican II.

Saint Joseph est le gardien du Monde Nouveau qui approche.


La fuite de la Sainte Famille en Egypte sous l’oppression d’Hérode le Grand est une remontée dans l’histoire et un chemin de pardon pour le peuple égyptien ; ce n’est pas peu que les plus belles figures de la chrétienté aux premiers siècles nous viennent de ce peuple avec ses premières grandes communautés de moines contemplatifs. Alexandrie ne fut-elle pas l’image la plus haute de la résistance contre l’arianisme avec saint Athanase, confesseur de la foi et père de l’Eglise ?


Saint Joseph est le roi secret d’Israël. Si Jésus est roi d’Israël selon la succession davidique, Il ne l’est que par son père Joseph ce que reconnaîtra Rome en apposant l’épitaphe « INRI, Jésus le nazaréen, roi des Juifs »,

mais Il est bien plus que cela : Roi de l’Univers, Il le révélera à sœur Olive Danzé.

Jésus reçoit le trône de David son père par saint Joseph, ce qu’annonce le psaume : « c’est par le bois qu’Il régnera ». C’est le sens du nard dans les armoiries du Pape François et ce lui de son introduction dans la prière eucharistique.


A ce point de notre discours, nous abordons les liens mystiques, surnaturels qui relientla mission de la France et le jugement des nations et son lien indéfectible avec saint Joseph.


Faire mémoire de l’Epiphanie, c’est célébrer celle de cinq rois, trois rois mages, Jésus, Roi de l’Univers et Joseph, roi d’Israël. Cinq est le chiffre de la Sainte Vierge Marie, Reine, sise dans la Sainte Trinité, couronnée par Le Père, le Fils et l’Esprit Saint, assise sur le trône laissé vacant de Lucifer. Reine des anges.


Saint Joseph, roi secret d’Israël. Il est celui du Nouvel Israël et devient la cause exemplaire pour sa sainteté de tous les gouvernants. La visite des mages confirme l’universalité du message évangélique et statut et dignité de Jésus Roi, c’est le renouvellement de la doctrine sociale de l’Église qui s’amorce, et dont les bases ont été fixées dans l’A. T. Saint Joseph devient la cause instrumentale de tous les souverains des nations, n’est-il pas le plus grand sage après Jésus et Marie ? Cette stature et mission lui est signifiée par le fleurissement de son bâton qui le désignait comme époux de Marie, ces fleurs étaient des lys qui ne témoignaient pas seulement de sa chasteté ni de sa pureté, mais de son statut de roi en lien avec le Nouvel Israël et la venue du Monde Nouveau. Un évènement va venir le confirmer le 7 juin 1660 ; notons les chiffres, nous retrouvons 66, 7, 1, le zéro peut se lire comme un accomplissement parfait dans l’ordre du surnaturel, mais le chiffre 7 est l’accomplissement achevé et assumé par la Sainte Trinité en action comme les sept sacrements.


Le 7 juin 1660, sur le mont Bessillon sur la paroisse de Cotignac, à un berger dénommé Gaspard Ricard, saint Joseph lui apparaît pour lui révéler une source afin qu’il puisse se désaltérer : « Je suis Joseph, enlève-le et tu boiras ».

Nous sommes au mois de juin qui deviendra celui du Sacré Cœur. Leroi Louis XIV règne, mais lui et son royaume ignorent le tournant très décisif qui est en jeu pour son avenir et celui de toutes les nations et peuples du monde.

Il apparaît à ce berger, le jour où à Saint-Jean-de-Luz, le roi accueille l’Infante d’Espagne qu’il va épouser. Saint Joseph touche le sol de la France, le Nouvel Israël ; cette grâce inouïe est l’un des merveilleux fruits de l’Ecole Française de Spiritualité qui est due à un acte de foi conjoint du cardinal de Richelieu et du roi Louis XIII qui, conseillé par le cardinal offrira une lampe qui brûlera jour et nuit au pied de Notre Dame, en la cathédrale de Paris. Cet acte de foi tout simple ouvre des vannes de grâces avec saint Jean Eudes, Monsieur Ollier, saint Vincent de Paul et tant d’autres mystiques.

Mais sur cette même paroisse, Cotignac,le 10 août 1519, sur le mont Verdaille, la Vierge Marie apparaît avec l’Enfant Jésus à Jean de la Baume, bûcheron de son état, ce sera le mois de l’Assomption de Marie que nous célébrons le 15, fête nationale. C’est en ce lieu que la reine Anne d’Autriche obtiendra la conception du futur Dauphin, Louis Dieudonné.

Le 21 février 1660, année de l’apparition de saint Joseph, le roi LouisXIV et sa Mère viennent en pèlerinage à Cotignac, le roi fait don à la Sainte Vierge de sa bague et du cordon de l’ordre de chevalerie du Saint Esprit.

Le dix-neuf mars 1961, le saint Pape Jean XXIII proclame saint Joseph protecteur du Concile Vatican II et lui offre son anneau de pasteur. Il y a un lien surnaturel entre ce concile et le Nouvel Israël, la France, fille aînée de l’Église, elle l’est réellement dans l’ordre du pratique : pastoral, mission d’évangélisation, de même qu’elle est le Nouvel Israël qui surgira par l’Église.


Le patriarche Joseph et saint Joseph ont tous les deux la charge de préparer la moisson ; ne sont-ils pas liés au Pain de Vie ? Mais c’est au père putatif de Jésus d’entreprendre la purification de l’Église et du royaume de France, c’est tout le sens de la dernière manifestation céleste dans le ciel de Fatima : Joseph est mis en avant, devant la Vierge Marie et Jésus. La sainte Vierge Marie le confiera à une âme privilégiée : « Le livre de mon chaste époux n’est pas encore ouvert, car le mien n’est pas achevé – allusion au dogme de Marie Co-Rédemptrice - ; l’étude mystique et théologique sur saint Joseph qui commença avec Monsieur Ollier et ne s’achèvera qu’après la purification, c’est-à-dire l’ouverture des cinquième et sixième sceaux ou demeures.


L’Église est surnaturellement la cause instrumentale de l’émergence du Nouvel Israël. La réforme entreprise de la curie et de tous les autres organismes reliés à sa mission en témoigne, comme le dit le Saint Père, il s’agit de renverserla pyramide quant à son mode de gouvernement : « Après avoir réaffirmé que le peuple de Dieu est constitué de tous les baptisés appelés à « être une demeure spirituelle et un sacerdoce saint », le Concile Vatican II proclame que « la collectivité des fidèles, ayant l’onction qui vient du Saint (cf. 1 Jn 2, 20.27), ne peut se tromper dans la foi ; ce don particulier qu’elle possède, elle le manifeste moyennant le sens surnaturel de foi qui est celui du peuple tout entier, lorsque, “des évêques jusqu’aux derniers des fidèles laïcs”, elle apporte aux vérités concernant la foi et les mœurs un consentement universel ». Ce fameux infaillible ‘‘in credendo’’. […]

Une Église synodale est une Église de l’écoute, avec la conscience qu’écouter « est plus qu’entendre ». C’est une écoute réciproque dans laquelle chacun a quelque chose à apprendre. Le peuple fidèle, le Collège épiscopal, l’Évêque de Rome, chacun à l’écoute des autres ; et tous à l’écoute de l’Esprit Saint, l’«Esprit de Vérité » (Jn 14, 17), pour savoir ce qu’il dit aux Églises (Ap 2, 7).[…]

La synodalité, comme dimension constitutive de l’Église, nous offre le cadre d’interprétation le plus adapté pour comprendre le ministère hiérarchique lui-même. Si nous comprenons que, comme dit Saint Jean Chrysostome,

« Église et Synode sont synonymes » – parce que l’Église n’est autre que le « marcher ensemble » du troupeau de Dieu sur les sentiers de l’histoire à la rencontre du Christ Seigneur – nous comprenons aussi qu’en son sein personne ne peut être « élevé » au-dessus des autres. Au contraire, il est nécessaire dans l’Église que chacun s’« abaisse » pour se mettre au service des frères tout au long du chemin. […]

Jésus a constitué l’Église en mettant à son sommet le Collège apostolique, dans lequel l’Apôtre Pierre est le « rocher » (cf. Mt 16, 18), celui qui doit « confirmer » les frères dans la foi (cf. Lc 22, 32). Mais dans cette Église, comme dans une pyramide renversée, le sommet se trouve sous la base. C’est pourquoi, ceux qui exercent l’autorité s’appellent « ministres » : parce que, selon la signification originelle du mot, ils sont les plus petits entre tous. C’est en servant le Peuple de Dieu que chaque Évêque devient, pour la portion du Troupeau qui lui est confiée, vicarius christi, Vicaire de ce Jésus qui, à la dernière Cène, s’est baissé pour laver les pieds des Apôtres (cf. Jn 13, 1-15). Et, dans un tel horizon, le Successeur de Pierre n’est rien d’autre que le servus servorum Dei. »


Il est important de comprendre que ce qui se passe dans l’Église a une résonance sur l’ensemble des peuples et nations. Le mode de gouvernement nouveau qui s’imposera à tous est proche de ce qu’aura été pour l’Ancien Israël le temps des Juges. Si de ce point de vue, c’est à l’Église d’en être la cause instrumentale, ce sera à la France, le Nouvel Israël, de l’appliquer pour elle, mais aussi pour tous les peuples qu’elle portera en Présence de Dieu selon un ordre nouveau dont nous commençons à en avoir une prévisualisation.


Le rôle de saint Joseph s’actualise dans les apparitions d’Itapiranga. Mais nous en avions eu les prémices par les confidences d’un prêtre qui eut la mission d’être exorciste spécial durant le second mandat du Président Mitterrand. Au cours de ces séances de libération,saint Joseph se révélera être le révélateur des scandales politico-financiers de cette période où la corruption déferlera sur la France sans que jamais nous ne parvenions à l’arrêter à ce jour. Nous savons qu’en ce moment, il est à la manœuvre pour tous les autres scandales surtout ceux se rapportant aux abus sexuels qui dans l’Église et qui dans le monde ; il faut s’attendre à d’autres scandales ébranlant cette fois les institutions dans leurs fondations et aucune volonté ne pourra l’en empêcher.


Saint Joseph, Roi secret du Nouvel Israël, prépare le chemin du lieutenant du Christ sur la terre, au milieu des nations et des peuples, nul ne sait à ce jour qui il est, mais il se prépare, sa venue ne sera pas le fruit de calculs politiciens ni facteurs de dissensions et de divisions dans le royaume, bien au contraire. Il sera révélé au milieu du plus profond et effroyable abaissement de notre royaume. Le Ciel nous le signifiera. Tous ceux qui prétendent être légitimes à accéder au trône de Clovis seront humiliés et balayés ; les sots ne savent pas qu’ils le sont.


Prier saint Joseph c’est entrer avec lui dans les mystères de l’Apocalypse, non pas entant que livre saint, mais bien dans la phase active, la purification, qui ne sera plus retardée. Si on n’a pas une vraie dévotion à saint Joseph, il est très difficile, voire impossible de comprendre ce pontificat, comme il est très difficile de comprendre le Second Saint Concile du Vatican. Il nous faut s’offrir et descendre au silence du tombeau, c’est la grande et l’unique leçon de ce saint patron, protecteur de l’Église et du Lieutenant de Dieu sur la Terre des hommes qui soulèvent en Justes la poussière.


Nous avons affronté la catastrophe de Tchernobyl, qui se traduit littéralement : absinthe, la première coupe de l’Apocalypse, aujourd’hui nous avons cette pandémie. Les apparitions ne nous ont pas manquées depuis celle de la Médaille Miraculeuse, le Ciel n’a cessé de nous alerter, de nous enseigner, de nous inviter au repentir, à la conversion des cœurs, sans aucun résultat probant puisque nous reprenons la pratique des sacrifices humains avec l’avortement, mais aussi combien autrement surtout avec les réseaux de pédophilie sacrificielle. Nous nous enfermons dans une surdité et un aveuglement suicidaire, similaire à celui des Egyptiens face à Moïse. Nous allons très bientôt, et de façon accélérer, pour les fidèles et hommes justes de tous les horizons, entrer dans le silence du tombeau du Christ qui sera déchiré par le crie de justice du Père éternel, un tonnerre d’amour. Mais beaucoup resteront fermes dans leur révolte, leur orgueil. Le Bras du Seigneur, Souverain de l’univers n’est plus retenu, il faut l’ouverture prochaine des secrets confiés à des âmes privilégiées et nous serons seuls avec pour bagage notre foi et sans excuse. L’épidémie que nous affrontons aujourd’hui a été annoncée par ces âmes privilégiées jusqu’au détail, et tout va s’accomplir. C’est la mise en œuvre du Magnificat.


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1- Il y a similitude entre Rachel et Sara épouse d’Abraham, toutes les deux offrir leur servante par manque de foi, car elles se croyaient stériles.

2- Gn. 30, 22-24 et 37-43

3- Documents référents : les travaux de Fernand Combrette, les visions d’Anne Catherine Emmerich et Marie d’Agreda.

4- Les Sadducéens secte équivalent aux francs-maçons d’aujourd’hui.

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