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MES VŒUX 2021 - LA NUIT DE LA FOI...





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(TEXTE de la CHRONIQUE)


UNE NOUVELLE ANNÉE - LA NUIT DE LA FOI...


L’usage des vœux de Nouvelle Année est l’occasion d’exprimer une chaleur du cœur voire la rechercher, mais elle n’est souvent qu’une mondanité.Cet usage n’est qu’un temps fort pour le chrétien, car il est ordonné à la charité, il lui appartient d’être toujours bienveillant, d’autant que ce premier jour de l’an est consacré à la mémoire de Marie Mère de Dieu. Or, la Mère de Dieu est la charité mise en mouvement.


La désolation de notre époque se ressent par un sentiment d’abandon, de désarroi et d’insécurité, qui incite l’individu à se replier sur lui-même ou à s’accrocher à un environnement qui lui donne des repères, et la possibilité de s’en créer. Cette tentation, pour nous catholiques est renforcée par l’éloignement sensible de la paternité et de la maternité de l’Église ; nous touchons là une réalité affective et spirituelle, c’est la réalisation de la parole de Jésus : « N’appelez père que votre Père des cieux... Nous devons nous affirmer fils de Dieu et non fils de l’Église, le Pape n’est pas le Père Commun, mais docteur commun universel, et un prêtre n’est pas père, il ne l’est qu’au cœur du sacrement. Il nous faut nous enfouir dans cette paternité surnaturelle du Père éternelle en nous rapprochant toujours plus de Jésus. Notre filiation adoptive est une réalité supérieure à la filiation génétique ou hiérarchique, sa fécondité en ces jours d’épreuves se déploie par notre résistance spirituelle, morale et culturelle, elle exige que nous maîtrisions notre colère pour mieux accepter les souffrances qui nous accablent, et les offrir à Jésus. La colère, même rentrée, ouvre la porte à nos concupiscences qui sont autant de possibles au démon de nous tenter.


Expérimenter l’insécurité est une grâce par laquelle Dieu nous invite à s’abandonner à Lui, à la divine Providence. C’est une perspective que nous redoutons tous, et pourtant il faut très vite la vivre, elle fait partie des étapes spirituelles qui nous font grandir dans la viridité de la vie surnaturelle.

Que nous le voulions ou pas, que nous le comprenions ou que nous refusions de le comprendre, nous ne sommes pas confrontés à une crise, mais bien au début des châtiments, ce fait sociologique et surnaturel a été signifié par la bénédiction Urbi et Orbi, et la pandémie en est la première grande étape, même si elle est artificieuse et artificielle. Il est évident qu’elle renforce ce tourbillon hallucinatoire de confusion, de désespoir, de colère et d’impuissance, mais c’est une grâce de conversion. Bien sûr, ce n’est pas facile, car nos dirigeants politiques, religieux, culturels ne répondent pas aux mandats qu’ils ont reçu ou qu’ils se sont octroyés, ils travaillent activement ou passivement contre les peuples au civil comme au religieux, les délaissant pour des chimères mortifères1.

Nous catholiques, le petit reste fidèle, accrochés à une foi alimentée par la tradition vivante, nous faisons l’expérience de l’abandon. Le Pape François a signifié notre entrée dans la nuit de la foi, dans le tombeau du Christ, le 23 mars 2020, jour anniversaire de la première apparition de la Croix Glorieuse de Dozulé.Mais où sont ceux qui ont mission de nous guider dans cette descente ? ils ont opté pour le grand large, la périphérie, nous laissant derrière, le dos tourné, comme ils auront tourné leur dos au sanctuaire lors de la Loi

de Bioéthique, ce qu’annonça le prophète Ézéchiel au sujet du Temple de Jérusalem dont l’architecture est fondée sur le génome et son développement l’embryon.Nous devenons étrangers dans l’Église voire coupables d’être fidèles à notre baptême, faisant de nous des errants de l’intérieur, des exilés, mais c’est une grâce. Dieu nous fait vivre par anticipation la nécessaire purification de l’Église ainsi que celle de toute l’humanité.Détachons-nous de l’institution humaine de l’Église, n’entretenons avec elle qu’un lien sacramentel, car il nous faut porter les justes non chrétiens à l’intérieur de l’Union des trois Cœurs Sacrés telle est la demande de la Dame de Tous les Peuples. Regardons l’Église comme elle fut en ses premiers jours, la servante zélée du salut, pauvre et riche de sa charité. Il est ici question de sa pauvreté évangélique, ces richesses matérielles n’ont plus aucune importance, elles nous sont un handicap, surtout que nous n’avons pas défendu l’honneur du Père éternel en ne dénonçant pas solennellement les pratiques déviantes de la génétique, et que nous n’avons toujours pas défini l’animation immédiate et sans voile à l’instant du premier génome comme article de foi. À quoi nous sert-il d’avoir une représentation diplomatique, des bâtiments qui ne sont plus que des témoins d’une vérité qui dérange ?


L’expérience de cet abandon est une réalité qui investit notre quotidien jusqu’au retour du Christ, Roi de l’Univers.Appartenir au Christ, se donner à Lui totalement, en ces jours, c’est se laisser mettre à part d’un monde pour lequel on ne peut plus rien si ce n’est que prier dans une disposition intérieure qui rejoint les ermites du Mont Carmel face aux idolâtries du Peuple Élu. C’est Élie provocant Yahweh dans sa fuite au désert du Sinaï. C’est une attitude conforme au dessein de Dieu, et c’est par le Christ que la fraternité passe, et que Lui seul peut établir en l’Immaculée Conception. Elle se réalise en ce moment de l’intérieur de la Memoria dei, par elle tous les hommes justes en sont touchés. Certes, nous voudrions la ressentir, mais avant, acceptons la purification, le crible de la colère de Dieu. Si nous

nous y refusons, cette fraternité que nos dirigeants veulent établir sera celle de la transgression humaniste, stérile et singulièrement fautive comme ce fut le cas pour la tour de Babel.


Notre entrée en résistance n’est pas dans le volontarisme, et certainement pas dans la colère, mais dans la voie passive de l’amour avec le chapelet d’une main et la Croix Glorieuse de l’autre.Ne cherchons pas à être considérés ni dans l’Église et ni du monde, ne sommes-nous pas lovés dans la plaie du Cœur douloureux et glorieux du Christ ? Disposons-nous à la fraternité surnaturelle à l’intérieur de l’Immaculée Conception, le Dame dans le Soleil, et nourrissons-nous au lait sacral qui s’écoule de l’unité des trois Cœurs Sacrés qui n’est rien de moins que l’onction davidique2. C’est pourquoi, la victoire sur l’état profond, ces fils de Dan, et l’établissement de cette fraternité ne pourra pas s’établir en l’absence du Roi, Henri V de la Croix. Car l’humanité doit retrouver préalablement le garant de l’ordre de la création, le garant de la Loi Naturelle, et ce garant est le Roi de France.

Je le reconnais mes chers amis, je n’avais pas envie de vous présenter mes vœux de Bonne Année, car il me semblait vous mentir.Espérer que cette année-ci sera meilleure que la précédente est une errance sur laquelle il ne nous est pas permis de nous appuyer. La purification commencée avec le Covid-19 ne s’arrêtera plus jusqu’aux trois jours de ténèbres.Elle nous mènera sur une terre et sous des cieux renouvelés. Le Père éternel réclame justice et réparation universelle à cause de la troisième Grande Transgression, en plus de nos péchés personnels. Mais pour nous, petit reste de fidèles, armée d’amour pour le Monde Nouveau, nous n’avons rien à craindre, nous serons victorieux de la victoire du Christ dans laquelle Il nous enfermera ; l’Antéchrist ne pourra pas nous atteindre.


Je ne voulais pas vous présenter mes vœux parce qu’il va y avoir une aggravation de la crise économique, Dieu nous purifie de nos aliénations pratiques, de nos chaînes,et Il laisse s’enfermer ceux qui sont les responsables de ces injustices, de la surabondance de souffrance. Mais Il veut par-dessus tout que nous attendions tout de sa Providence. Il est un Père, pourquoi au cœur des tensions les plus fortes, nous abandonnerait-Il à moins que nous-mêmes nous ne le quittions ?

Je ne le voulais pas, parce que nos libertés civiques et religieuses vont être réduites, car ceux qui nous dirigent, asservis volontairement à l’état profond, ont peur, et sont si aveuglés qu’ils sont persuadés d’atteindre enfin les buts fixés. Il faut qu’ils tombent par eux-mêmes et reçoivent leur récompense.

Je ne le voulais pas, parce que notre hiérarchie catholique est devenue inféconde surnaturellement, et pour dissimuler cette infécondité,elle collabore avec l’état profond,et se mêle de notre santé physique si fortement qu’elle subordonne le divin à l’ordre du corps. En nous conseillant de nous faire vacciner, elle sort de sa mission comme elle va vers des périphéries délaissant le foyer, plutôt que de nous enseigner sur les fins dernières. Nos évêques perdent l’intelligence de leur charge, ils ne savent plus où est leur place, ils ne sont que des administrateurs, satisfaits de coucher avec la république.

Le Pape Benoît XVI aura délaissé la rigueur, l’héroïsme dans l’ordre des vertusen approuvant un décret de la Doctrine de la Foi sur l’usage du préservatif, alors que ses prédécesseurs avaient toujours enseigné les vertus héroïques ce qui n’est en rien contraire avec la miséricorde, voici le passage délicat : « Celui qui, pourtant, en la pratiquant, tout en étant infecté par le VIH, s’emploie à réduire le risque de contamination, y compris par l’utilisation du préservatif, peut accomplir un premier pas vers le respect de la vie des autres, même si le mal de la prostitution demeure dans toute sa gravité. » Malgré les précautions qui précèdent et suivent ce passage, le Magistère condamne l’utilisation d’un moyen illicite, peccamineux pour se préserver des conséquences d’un acte mauvais dans sa nature.

Le Pape François a approuvé un décret de la doctrine de la Foi justifiant la vaccination contre le Covid-19 ; la position de ce décret s’argumente sur le bien commun. Mais là aussi nous sommes confrontés au même dilemme. Peut-on user d’un produit qui demande l’emploi de cellules vivantes humaines extraites d’un fœtus vivant que l’on tuera à la suite ? Dans sa rédaction, il y a une surabondance de précautions, mais il n’en demeure pas moins qu’on y justifie une pratique mauvaise, qui fait du vacciné un consommateur consentant à l’avortement industriel. Qu’elles que puissent être les intentions, les raisons qui poussent à un tel décret, qui contredit l’enseignement du pape sur l’écologie, il est fautif, et ne peut donc pas être suivi d’effet.

Nous ne comprenons pas, et nous ne pouvons le comprendre que le Pape François ait honoré de l’ordre de Saint-Grégoire le Grand, la responsable de la promotion de l’avortement dans l’Union Européenne, et qui puis est, n’est pas de confession catholique, pas plus que nous pouvons comprendre et admettre qu’il ait félicité la plus grande propagandiste italienne de l’IVG pour le bien qu’elle a fait à son peuple, de même qu’il est incompréhensible qu’il ait refusé de recevoir le Secrétaire d’État des USA alors que l’administration de Trump aura combattu l’avortement, pas plus qu’il n’ait félicité le Premier Ministre de Pologne pour sa loi restrictive quant à l’avortement, et enfin comment comprendre son silence quant à la loi autorisant l’IVG en Argentine.


Comment comprendre que ces deux Papes puissent glisser à ce point, amorcer un effondrement doctrinal, alors que Jésus a enseigné que la Vérité ne souffre d’aucune compromission. On retrouve la même résonance avec les dispositions prises au sujet des divorcés remariés. Il y a deux facteurs qui l’expliquent : Le reniement des Papes Jean-Paul II, Benoît XVI et François au sujet de l’animation immédiate et au sujet des pratiques déviantes intentionnelles de la génétique, à ceci vient s’ajouter un élément majeur, la réalisation des Écritures. L’Antéchrist doit se révéler en ces jours, et seule l’Église peut le lui permettre et doit le lui permettre. J’ignore si ces deux Papes en ont conscience, mais il est évident que Dieu les a voulus là à cette fin, puisque le renouvellement de toute chose approche.

Il ne s’agit pas ici de condamner ces deux Papes, cela ne nous revient pas ; mais il faut bien que l’on offre à proposer une explication quand il en est encore possible pour ne pas désespérer de l’avenir. Tout évènement d’Église ou politique comme ce qui se joue aux USA doit être abordé en métapolitique, c’est-à-dire dans les lumières eschatologiques. Nous devons de toute urgence intégrer que c’est Dieu qui dirige les évènements, c’est vrai depuis toujours oui, mais c’est dans le domaine pratique depuis la renonciation du Pape Benoît XVI. Cette situation si déroutante, si éprouvante a été annoncée par le prophète Ézéchiel au sujet des évènements du Temple de Jérusalem, par Daniel, par Isaïe, dans les épîtres de Paul et dans les Évangiles ; des révélations privées authentifiées ou non l’ont ou le développent, nous sommes donc inexcusables de ne pas y croire.


Cette errance doctrinale, ne remet pas en cause la légitimité de l’élection du Pape François, mais elle souligne les effets dévastateurs du Meshomes, c’est-à-dire les conséquences de l’intervention transgressive intentionnelle de l’homme dans la chambre de vie, agissant sur le génome en prévision d’un clonage humain reproductif déjà réalisé en laboratoire.


À cette tragédie s’ajoute le silence de Pierre quant à la proclamation de l’animation immédiate, dès la formation du génome, et le refus de condamner solennellement cette ultime transgression, ainsi se réalise la prophétie d’Ézéchiel au sujet du Temple.

La confusion dans l’Église va s’accroître jusqu’à la consommation du schisme pour aboutir à une universelle apostasie. Elle s’aggrave puisque avec une obstination surréaliste le Pape François s’enferme dans le refus de proclamer Marie Co-Rédemptrice alors que toute sa démarche de pasteur se concentre sur la fraternité universelle qui est une demande de La Dame de Tous le Peuples d’Amsterdam, apparitions reconnues, et au cours de laquelle Elle demande la proclamation de ce dogme.

Ce constat, aussi douloureux qu’il soit, doit être considéré dans la perspective eschatologique, c’est-à-dire que l’Écriture doit s’accomplir. La souffrance que nous en ressentons nous l’offrons et nous nous gardons de nous mettre en colère pour ne pas être l’objet d’attaque du démon par le déploiement de nos concupiscences. Nous ne devons pas cesser de prier pour les Papes Benoît XVI et François et faire une totale confiance à la Providence divine puisque tout doit s’accomplir, et qu’ils sont ses instruments privilégiés.

Nous le petit reste de fidèles, nous devons nous trouver surnaturellement dans la Divine volonté, le vouloir de Dieu. Si nous jugeons le Pape nous nous opposons aux desseins divins, ce qui ne nous appartient pas.


Bien évidemment nous devons nous souhaiter une Bonne et Sainte Année, une fidélité renforcée à Jésus-Christ par Marie et Joseph, qu’ils nous fassent entrer dans l’unité de leurs Cœurs Sacrés.


Nous devons resserrer notre fraternité surnaturelle, car le filet du pécheur échappe des mains des successeurs des Apôtres, et il nous appartient de le retenir jusqu’au bout du tunnel. Car nous entrons surnaturellement, mais réellement dans la plénitude de notre sacerdoce royal qu’a redéfini le Second Concile du Vatican, de même qu’il nous revient d’assumer pleinement notre vocation prophétique.


Nous ne devons plus nous accrocher aux personnes qui portent le sacerdoce ordonné, institué, mais nous devons nous enfouir dans le mystère d’amour des trois Cœurs Sacrés. Il ne faut pas avoir de crainte d’être dans cette disposition puisqu’elle est la seule issue aujourd’hui pour notre salut. Il ne s’agit pas de ne plus fréquenter les sacrements, mais de nous en tenir à la tradition vivante de l’Église et à l’enseignement infaillible du Magistère qui lui ne nous trompe pas. Les évêques ont tourné le dos au sanctuaire, à nous et à nous seuls de nous y maintenir sans chercher à les retenir de leur abandon. Comprenons qu’il ne nous reste que la foi pour tout bagage.

En ce jour du 7 janvier où vient de se conclure les élections aux USA avec la confirmation de Biden, je ne peux ignorer la nature profonde de ces évènements, qui ont failli faire basculer les États Unis dans la guerre civile, ce qui pourrait n’être qu’un retard. Le Président Trump est sans aucun doute l’un des plus grands présidents que la Providence aura disposé pour ce peuple. Son mandat nous aura apporté un allégement des évènements que plus rien ne peut retenir ; mais son refus d’utiliser la force pour affirmer son droit montre à quel point il est habité par une approche eschatologique de l’avenir et qu’il maîtrise à la perfection l’art de gouverner. Maintenant, considérant la résonance historique et morphogenèse des empires, il est évident pour nous, qui sommes quelque peu avertis, que le mal profond va tomber de lui-même, et que tout est dans les mains de Dieu. Le Président Biden et tous ceux qui l’ont amené là avec un déshonneur éclatant, une profonde immoralité et une illégitimité totale auront le sort des Nabuchodonosors, M. Biden ne terminera pas son mandat ni aucun de ceux qui aujourd’hui gouvernent en opposition aux Commandements de Dieu. On honorera un jour la mémoire du Président Trump, on aura honte de prononcer le nom de ceux qui l’auront déloyalement combattu.

Je peux affirmer maintenant, que plus rien ne retardera les évènements ni ne les atténuera. C’est définitivement l’heure de la prière.


Mes Chers Amis, mes frères et sœurs dans le Christ Jésus, je vous présente mes vœux de très Bonne Année Nouvelle, mais surtout très sainte, courageuse, que nous obtenions la grâce de fidélité, de persévérance, soyons sans concession face au monde, nous ne lui appartenons pas. Surtout ne vous faites pas vacciner quelles qu’en soient les conséquences, nous sommes de Dieu pas du démon.

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1- Cfr. Le commentaire des psaumes dans le bulletin de l’association.

2-Cfr. Le Bulletin de l’association, représentée par le symbole de l’Étoile de David.

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