L’EGLISE SAINTE HIERARCHIE INDIGNE
par
PIERRE CHARLES AUBRIT SAINT POL
AVERTISSEMENT DE L'AUTEUR
En raison des informations vérifiées, qui font suite au décès du Pape Benoît XVI, j'ai décidé de réécrire certains articles considérant que François n'est pas légitimement élu successeur de Pierre. Je suis donc entré dans une résistance effective, plus que jamais décidé à servir la Vérité et la Charité dans ce que je sais faire de mieux pour mes frères catholiques. Il ne s'agit pas d'entrer en conflit avec François, mais de continuer l'Eglise telle que nous l'ont confiée les Papes depuis saint Jean XXIII à Benoît XVI. Il faut accepter cette épreuve qui est permise par Dieu afin de purifier l'Eglise de tout ce qui lui est contraire. Sans juger les personnes, il faut sans détour et sans faiblesse continuer de témoigner de la Vérité dans tous les domaines de l'acte humain et divin. En ne regardant que le Bien Commun de tous, sans plus jamais se préoccuper de ce qui se passe au Vatican. Nous touchons la réalisation des Paroles de Jésus à Jacqueline Beaumont de Dozulé – la Croix Glorieuse – "Les laïcs redonneront la foi au monde", mais chacun à sa place.
The Catholic Church in the first place, all the instituted churches as well as all the human race undergo the first stages of the purification, announced in the Holy Scriptures from the beginning. The nature of the events is supernatural, but a large part of them passes through political acts and conflicts…...
L’Eglise Catholique au premier chef, toutes les églises instituées ainsi que tout le genre humain subissent les premières étapes de la purification, annoncée dans les Saintes Ecritures depuis le commencement. La nature des événements est surnaturelle, mais une grande partie d’entre eux passent par les actes politiques et les conflits. Dieu se sert du péché pour établir sa Justice. Le Second Concile du Vatican nous enseigne que l’Esprit Saint œuvre dans toutes les religions et les domaines de l'acte humain, car tout homme est appelé au salut, à tourner son regard vers le Christ Jésus en Croix, et tous assumeront leur part dans cette période de justice et de miséricorde.
Une question s’impose : quelle est la profondeur de l’implication de l’Eglise et quelle est sa responsabilité quant à la sévérité de la justice divine ?
La réponse a avoir avec la pastorale et les dogmes : animation et Marie Co-rédemptrice, mais aussi le retour à une liturgie plus respectueuse du sacré afin de manifester le pouvoir et la puissance de son intercession au regard du peuple de Dieu. Un prêtre célèbre, il ne repasse pas !
Il m'est apparu nécessaire de faire un point sur la crise que traverse sa hiérarchie et non l’Eglise[1] qui est impassible et sainte puisque fondée par le Christ Jésus et donc enracinée dans la Très Sainte Trinité.
Il se peut que vouloir analyser et critiquer ce qui se passe dans l'Eglise puisse scandaliser certains, mais il faut bien que le fidèle ait des lumières pour comprendre les causes de ce désastre humain et surnaturel. L'esprit critique n'est pas opposé à la charité, et faire la vérité contribue à libérer et à éclairer les consciences en vue de leurs décisions qu'ils auront à prendre.
Crise de la hiérarchie
L’Eglise est fondée par le Christ Jésus et sur Lui. Elle est composée d’une hiérarchie ordonnée, de laïcs consacrés et non-consacrés. Son action sanctifiante se transmet par les sacrements, les sacramentaux, par la liturgie et son enseignement.
Sa responsabilité déborde au-delà de ses murs : urbi et orbi ; intra muros et extra muros. Son pouvoir d’intercession agit pour toute l’humanité, toute la création.
Elle est sainte, car fondée au cœur de la Très Sainte Trinité, une sainteté sans cesse renouvelée par les membres du Corps Mystique du Christ Jésus : martyrs, confesseurs de la foi, héros de la charité et de la vérité.
L’Eglise[2] n’est pas en crise, mais son corps vivant, militant souffre de mal-mort à cause des membres de sa hiérarchie consacrée et de nombreux laïcs qui trahissent le message évangélique au point d’être explicitement dans l’apostasie. Ils veulent la soumettre à l'ordre du monde niant l'efficience permanente du Sacrifice du Christ Jésus.
Le Peuple de Dieu souffre de ses membres corrompus : d’une crise de la foi, des mœurs, d’identité et de l’effondrement de la crédibilité de ses consacrés. Leur apostasie silencieuse commence par se faire entendre et elle séduit. L’attrait pour les ténèbres oppresse le genre humain, et la création fait connaître sa douleur. L'Eglise donne l'impression d'être absorbée dans la force centrifuge de la roue révolutionnaire. Les puissances dévastatrices qui se trouvent dans sa hiérarchie ont plusieurs courroies de transmission : les aumôneries, les associations, le diaconat permanent, les laïcs autoproclamés "barons du parvis[3]", tous sont engagés dans leur dernière ligne droite que balise l'Esprit Saint, atteignant le lieu de rendez-vous de la Justice, trajectoire funeste pour un grand nombre. Les larmes du Peuple fidèle pèsent lourdement sur l'un des deux plateaux de la balance.
Quelles en sont les causes ?
Les causes sont multiples. La première d’entre-elles est la volonté d’empêcher le projet de Dieu quant à la glorification du genre humain et son assomption. C’est la volonté perpétuelle de Lucifer et de ses anges-démons. Ils ne peuvent atteindre leur fin quand s'attirant des affidés parmi les hommes, d'où la nécessité de neutraliser et de détruire l’Eglise.
Ne nous faut-il pas nous poser la question : comment et par quel moyen en sommes-nous arrivés-là ?
Il serait injuste de rendre le Second Concile du Vatican responsable de cette situation. Mais il se comprend bien, que les esprit transgresseurs et apostats se soient saisis de cette opportunité pour intensifier la crise du modernisme avec ses sous branches plus dangereuses les unes que les autres[4]. Ils ont accéléré la corruption et un état de crise qu’avaient parfaitement identifié des Bernanos, des Papes Léon XIII, Pie X, Pie XII, Jean XXIII, Paul VI et Jean-Paul II, Benoît XVI, ils en ont pris toute la mesure, et ce fut leur croix. Ils auront connu et vécu un martyr blanc. Il fallait soulever le tapis[5]pour découvrir et comprendre la nature et l’étendue du mal qui y couvait.
La Renaissance sera le terreau puissant de la crise d’aujourd’hui, les Lumières et Encyclopédistes en accentueront les nocivités. Les pastorales post-conciliaires seront et resteront dominées par les idéologies, le relativisme, l’absence d’audace des responsables quant à la libre-parole, n’osant pas s’opposer aux volontés transgressives des prêtres et évêques qui feront souvent appel à des personnels marginaux du point de vue de la discipline sacramentelle quand ils ne faisaient pas appel à des incroyants pourvu qu’ils soient communistes, P.S.U. et francs-maçons. N’avons-nous pas aujourd’hui des chefs d’établissement scolaire sous contrat immoraux et fiers de l’être ?
Bien des courants intégristes portent une grande responsabilité, le durcissement de leur cœur au nom d’une tradition instrumentalisée marquée par absence d’espérance et par une conception maurassienne de l'institution ecclésiastique qui se retrouve chez les progressistes. Mais les ultras participent à cette souffrance sans assumer leur part, car ils sont figés dans la posture de l’accusateur, les Saint-Juste du convenu, des conservatismes. Ce qui leur aura été fatal, c’est d’avoir refusé la main tendue du Pape Benoît XVI alors que leur soutien aurait contribué à ce qu’il ne renonce pas à son gouvernemendi. Ils ont transformé cette opportunité pour nous faire la roue du paon.
Les évêques répugnent à s’affirmer fidèles à Jésus. Ils sont jacobins. Ils ne réagissent pas à l'acculturation du message évangélique par les esprits dominant un monde qu'ils veulent faire revenir à l’idolâtrie, aux sources de sa déshumanisation :
« L’ Eglise meurt parce que les pasteurs ont peur de parler avec franchise et vérité. Nous avons peur des médias, de l’opinion publique, de nos confrères ! Mais le bon berger donne sa vie pour ses brebis […] Dans peu de temps, je serai appelé en présence du Juge éternel. Si je ne transmets pas la vérité que j’ai reçue, que vais-je lui dire ? Nous évêques, devrions trembler à la pensée de nos silences coupables, de nos silences complices, de nos silences condescendants avec le monde. » cardinal Robert Sarah.
Le peuple de Dieu, par la faute de cette hiérarchie apostate, a perdu l’intelligence du salut, la notion de péché personnel et de ses conséquences sur la société, mais surtout il accepte et adhère à toutes les formes de transgression. La hiérarchie devient insalubre tant elle se compromet avec les princes de ce monde au point qu'il se demande, si elle ne partage pas le même lit, le lit des loges.
Les quelques membres consacrés fidèles souffrent d’un centralisme romain hypertrophié comme le révèlent les décisions autoritaristes et quasi caractérielles du vicaire général, François[6]. Il neutralise l’autonomie de l’évêque au point que lui-même en oublie qu’il succède légitimement aux Apôtres, et qu'il n'est pas un petit soldat de la curie. Cette catastrophe est due à la réforme grégorienne, au fixisme du Concile de Trente et à une sorte de dichotomie au cœur du Saint Siège. Pierre est le premier serviteur, il n’est pas la tête de l’Eglise ni son cœur, ni son centre, il est le sommet de la hiérarchie, son rôle est d’être le serviteur du lépreux, son autorité ne peut et n’a pas aller au-delà de confirmer ses frères dans la foi. Il n’est pas roi. Il ne peut être un autocrate. Il est étrange de constater que plus la curie veut démocratiser l'Eglise – le synode de la synodalité – plus elle se crispe sur l'exercice d'un pouvoir qui la stérilise, la dessèche, la ridiculise.
Si la mission pastorale et l'évangélisation ont une implication sur le politique au sens le plus noble, la hiérarchie, quant à elle ne peut avoir d'opinion politique, être partisane, mais elle a l'obligation d'annoncer Jésus aux responsables, et de dénoncer du point de vue moral, les actes qu'ils posent. Ni l'Eglise ni sa hiérarchie ne peut être infestée d'aucune idéologie, d'aucune philosophie qui ne sert pas la Vérité dans la charité.
Dans le domaine de la liturgie, des sommets d’aberrations sont atteints, de transgressions, de sacrilèges que le cardinal Sarah a essayé de corriger, mais la curie et François ne lui ont pas permis. Elle est le Fukushima de la confusion aggravée par le mode de réception transgressif des sacrements et des traductions scripturaires plus qu'aléatoires, il peut être mentionné sur ce sujet qu’il s’agit d’une volonté transgressive[7].
La hiérarchie a perdu l’intelligibilité du mystère de la fécondité maternelle de l’Eglise, ainsi que celle de sa mission royale, prophétique. C’est une crise sans précédent, bien plus grave qu’à l’époque de saint François d’Assise, et dont les effets se répercutent dans tous les peuples y compris de culture non-chrétienne. Elle favorise l’affaissement métaphysique, la garde du cœur. La Justice divine ne peut plus être évitée ; la porte lui a été définitivement ouverte en contraignant le Pape Benoît XVI au renoncement. Il suffit pour le comprendre d’étudier son discours de renonciation et son intervention auprès des prêtres de Rome, en s’appuyant sur le Droit Canon.
La sur-médiatisation des actes curiaux, les prises de paroles de François volontairement troublantes, et se mêlant de domaines qui ne sont pas de la compétence de l'Eglise sont autant atteintes à sa crédibilité, et éloigne le peuple humble. Surjouer l’air de la culpabilisation, ne respectant pas la liberté de conscience, jusqu’à dire que ceux qui refusent la vaccination anti-Covid19 faisaient preuve d’un manque d’amour de charité. Et aujourd’hui, des cours de justice US donnent raison à ceux qui ont refusé de se faire vacciner ainsi que ceux qui en meurent en grand nombre. Ce qui démontre, s'il en était encore besoin, le caractère illicite de l'élection au Siège de Pierre du cardinal Bergolio. Un successeur de Pierre ne s'égare pas dans les esprits du monde et n'apporte pas son soutien aux tyrans des peuples ni à ceux qui font la promotion de l'avortement.
En tant que simple évêque sur le trône de Pierre, il aura semé plus de divisions que d’actes d’unité intra muros. A quoi sert de rechercher l’unité des Eglises sans se soucier de l’unité interne de l’Eglise Catholique ? Son "élection", permise par Jésus-Christ donne à l'Esprit Saint l’opportunité de dépouiller ses fidèles de tout espoir humain, les faisant entrer dans l’espérance surnaturelle en acte.
Les travaux faits sur la renonciation du Pape Benoit XVI dénonçant l'imposture libèrent nos consciences et justifient que nous entrions de plein-pieds dans la résistance à l'intérieur de l'Eglise, celle composée de fidèles du Christ Jésus. Tous les actes qu'il aura posés, dans la succession pétrinienne sont illégitimes. Nul n'est tenu de s'y soumettre.
La Divine Providence se sert de François comme elle s’est servi du roi Nabuchodonosor II, plus à cause de ses faiblesses que de ses qualités, ainsi va-t-il en finir avec une hiérarchie apostate, engoncée dans une administration sclérosée, qui n’est plus au service de l’Evangile.
Quoiqu’il en soit, Jésus, le Bon Pasteur, par François, sépare ses brebis des loups. De même que nous devons prier pour nos ennemis, bien plus encore devenons prier pour lui et l'aimer surnaturellement, le Christ nous en donne l'exemple Lui qui embrassait la croix sur laquelle Il donnait sa vie. Les paroles de la Vierge Marie à La Salette se vérifient chaque jour, concernant l’apostasie de la hiérarchie et son impureté... Elle est dominée par les loges, des idéologies, des réseaux pédo-criminels-sacrificiels, des courants homosexuels. Trop de ses membres sont à ce point inféodés au monde dans ce qu’il a de plus pervers qu’ils n'en distinguent plus les dangers pour leur salut. D’autres ne cachent plus leur connivence avec les pouvoirs politiques et financiers[8] et pour la France au pouvoir jacobin.
Etre résistant dans l’Eglise ?
Que faut-il faire ? Prier, faire pénitence.
Il est possible d’entrer en résistance dans l’Eglise sans manquer à la charité.
Il ne faut pas craindre la division, car une unité faite sur le mensonge, la transgression n’est pas l’unité. Saint Pierre nous en donne l’exemple : " Mieux vaut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes." Nous, laïcs sommes autant l’Eglise que la hiérarchie peut l'être sauf, que nous n'avons pas le pouvoir sacramentel.
Il viendra bientôt le temps où les sacrements nous serons refusés, ce sera-là un drame et notre gloire.
- Qu’avons-nous avoir avec une hiérarchie écologique ?
- Qui collabore avec un pouvoir notoirement antichrétien ?
- Qui n’annonce plus Jésus-Christ vrai et unique Sauveur.
- Qui légitime le mal au nom d'un bien. (Le vaccin anti-covid19)
- Qui murmure plutôt que de crier à l’injustice, à dénoncer la transgression de lois contre-nature : l'avortement, les manipulations génétiques, l’euthanasie ?
- Qui humilie les membres de l'Eglise au sujet d’actes passés envers lesquels ils n'ont aucune responsabilité.
- Qui est pro-mondialiste, maçonnique, apostate.
- Transgressive dans sa façon d’accorder les sacrements, et vend à l’encan la Miséricorde qu'elle pend à la potence que les quatre vents assèchent.
- Qu’avons-nous à faire de cette hiérarchie ?
Les souffrances du Corps Mystique
Il y a une quarantaine d'années, mon confesseur m'avertissait que l'une des épreuves douloureuses pour le catholique vers la fin des temps aurait sa source sur le Siège de Pierre. Je n'imaginais pas que j'aurai à la vivre.
Nous clôturons le troisième cycle de deux mille ans, selon les confidences que Jésus donna à Louise Piccarreta. Il n'est pas anormal que le Siège de Pierre soit occupé par François, l'un des instruments de notre sanctification. Mais pour mieux comprendre les causes qui pourraient avoir amener Jésus à laisser le cardinal Bergolio accéder au Siège de Pierre, il faut mentionner l'attitude et la responsabilité des Papes saint Jean-Paul II et de Benoît XVI concernant la troisième transgression universelle que contient la Loi de Bioéthique française. Je ne peux ici que la résumer[9].
Le cardinal Bergolio assume les fonctions d'administrateur apostolique universel. Il est cause de grands troubles, de souffrances et de divisions. Si nous avons l’obligation d’aimer et de prier pour nos ennemis comment ne pas aimer et prier pour lui quoiqu’il nous fasse tant souffrir ! Notre fidélité au Christ passe par l'acceptation de cette épreuve qui en annonce d'autres. Il est la cause instrumentale de tant de confusions que nous en serions écrasés si la Très Sainte Vierge Marie ne venait à notre secours :
- Il reconnaît que l’avortement est un mal, mais il contredit les évêques des Etats-Unis d’Amérique qui ont excommunié Biden parce qu’il fait la promotion de l’avortement. Il se permet de le faire communier au Corps et au Sang de Jésus, au prétexte que leur décision est politique. C'est une déclaration vexatoire et en opposition à la doctrine et à la discipline sacramentelle !
- Il honore une femme déléguée à la promotion de l’avortement pour l’Union européenne.
- Il félicite la responsable italienne de la promotion de l’avortement…
- Il humilie, blesse tous ceux qui luttent pour la défense de la vie en son début et en sa fin.
- Il permet à des divorcés remariés d'accéder aux sacrements, réduisant leur responsabilité, leur liberté de conscience, tandis que d'autres sont des héros de fidélité et de constance. C'est le relativisme du péché qu'à d'autres endroits il dénonce !
Ces quelques exemples révèlent une hérésie pratique que Jésus dénonçait : « Faites ce qu’ils disent, mais ne faites pas ce qu’ils font. »
- Il excommunie un prêtre pour ses agressions sexuelles, reconnu coupable par sa hiérarchie nationale, mais il lève l’excommunication, et le nomme conseiller au Vatican pour les affaires culturelles.
- Comment comprendre de telles décisions ?
- A quel moment est-il évêque de l'Eglise catholique ?
Le fidèle du Christ était déjà entré dans un certain exode intérieur face à des comportements et des orientations pastorales et liturgiques hétérodoxes, mais cette fois, avec la renonciation de Benoît XVI et l'usurpation du cardinal Bergolio, il s’enfonce dans cet exode de manière de plus en plus marquée, mais avec la certitude des Paroles de Jésus : « Les forces des enfers ne prévaudront pas contre elle. »
La hiérarchie n’est plus un point d’appui pour le fidèle du Christ qui ne peut qu'entrer en résistance. Bien de ses membres appartiennent à des loges maçonniques, trop de prêtres aux mœurs délabrés.
L’innocence ne se recherche pas auprès de la corruption ni des corrupteurs des âmes. N’est-ce pas là le résumé des avertissements de la Vierge Marie à La Salette ?
(suite à venir : LA MEMOIRE : un enjeu prométhéen)
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S[1] Notre Seigneur Jésus à Alicja Lenczewska le 6 juin 2002 : extrait du site : countdowntothekingdom.com Le Cœur Immaculé de Ma Mère vaincra. Elle est la Mère de l'Église qui est toujours sainte, indépendamment des péchés et des trahisons de nombreux fils de l'Église. Je suis la sainteté de l'Église, avec Mes Apôtres, Mes serviteurs dévoués qui, dans leur sacrifice du martyre, sont la fondation, le mur et le dôme de Mon Temple. Dans [l'Église] je vis et vivrai, en elle je nourris mes enfants par mes serviteurs, je leur redonne la vie et les conduis à la maison du père. Mon Église souffre, comme j'ai souffert ; Elle est blessée et saigne, comme j'ai été blessée, et comme j'ai marqué de Mon Sang le chemin du Golgotha. Mon Église est crachée et profanée, comme Mon Corps a été craché et maltraité. Elle titube et tombe, comme je l'ai fait sous le poids de la croix, car elle porte aussi la croix de mes enfants à travers les années et les âges. Et Elle se lève, Elle avance vers la résurrection à travers le Golgotha, à travers la crucifixion de tant de saints ! Mais les portes de l'Hadès ne lui résisteront pas, car la sagesse et la puissance de l'Esprit divin la guident à travers le cœur et l'esprit de mon vicaire sur terre et de ses fidèles collaborateurs. L'aube et le printemps de la Sainte Église arrivent, même s'il y a une anti-église et son fondateur, l'antéchrist. Même s'il y a des prophètes de Lucifer, et ses prêtres, et l'armée obéissante de la franc-maçonnerie, et de nombreux liens et organisations à ses services. Et même s'il existe un « Sanhédrin » mondain qui dirige l'église de Satan sur terre. Même s'ils contrôlent les gouvernements et leurs richesses, et il semble qu'ils ont tout empoisonné et conduisent le monde à sa ruine. L'antéchrist n'est pas Dieu, il ne peut rien créer. Il désire seulement détruire ce que Dieu a créé. En chantant Dieu, il mutile, il blesse, il déforme. Il contamine avec le poison de la peur, du chagrin et de la mort. L'anti-église est l'opposé de la véritable Église dans ses structures, ses buts et ses activités. Au lieu de la vie, il y a la mort ; au lieu de la vérité, il y a le mensonge ; au lieu de l'amour, la haine ; au lieu du pardon, la vengeance ; au lieu de la liberté, l’esclavage ; au lieu de l'humilité, de l’orgueil ; au lieu de miséricorde, de cruauté. Et on peut ainsi continuer à énumérer tous les biens spirituels inclus dans l'Évangile et reconnaître leur contraire, qui deviennent le contenu de l'enseignement et de l'activité de ceux qui combattent Mon Église, Mes bien-aimés, Mes enfants souffrants. Le chemin du salut mène à travers la purification du monde et de chaque enfant de cette terre du poison satanique du péché originel. La purification sera offerte, elle mettra à la lumière de la vérité divine les mensonges des fils des ténèbres. Chaque homme, suivant sa propre volonté, face à cette Vérité, choisira le Royaume de Mon Père ou bien s'offrira pour l'éternité au père du mensonge. Et le monde sera libéré de la toile d'araignée de la Grande Prostituée - de l'église de l'antéchrist et de ceux de Mes enfants qui la servent. Marie est celle par qui vient la renaissance de mon Eglise, afin qu'elle brille de toute la splendeur de la sainteté divine. Le temps présent exige des enfants de la Vérité une foi, une espérance et un amour héroïques. Il faut reconnaître les signes des temps à la lumière de la prière et de la Parole de Dieu, et répondre aux appels de Ma Mère et à ceux de mon cher serviteur Jean-Paul II : prier et faire pénitence avec l'intention de sauver Mes enfants perdus. [Lire] les paroles de l'Écriture qui se rapportent à la sainte Église et aux chrétiens : Job 30 : 17-31 (et d'une certaine manière tout le livre de Job), 1 Pierre 1: 1-25 (Une certaine comparaison avec le troisième mystère de Fatima est nécessaire). [2] L'Eglise est fondée par les sacrements institués par le Christ Jésus qui se transmettent par une hiérarchie ordonnée : évêques, prêtres, diacres. Cette pierre mystérieuse est l'Eglise sainte, impassible, sans cesse alimentée par la plaie du Cœur de Jésus crucifié. C'est donc son corps humain, son humanité qui souffre parce qu'elle est militante sur la terre des hommes pécheurs. [3] De fidèles accrochés à une conception de l'Eglise instrumentalisée selon leur choix idéologique ou conventionnel, ils sont les garants d'un pré-carré où finalement la charité la plus élémentaire est exclue, comme sont exclus se qui représentent un danger potentiel quant à l'ordre qu'ils veulent préserver au service de leurs intérêts mondains voire idéologiques. Ces baronnés sont un véritable fléau pour l'Eglise et toute pastorale. [4] Cf. Benoît XVI, le cardinal Sarah etc. [5] Expression employée par le Pape saint Jean XXIII alors nonce apostolique à Paris. [6] 28 février 2013 : le faux départ de Benoît XVI Philippe Levillain Membre de l’Académie des sciences morales et politiques Si Benoît XVI annonça sa renonciation au Sacré collège et au monde le 11 février 2013, la fin de son pontificat n’intervint que le 28 février, après un symbolique survol de l’Urbs en hélicoptère et son installation à Castel Gandolfo. Le calendrier fut fixé par le Souverain pontife lui-même. Et pendant ces dix-sept jours, Benoît XVI aura eu toute latitude pour revenir sur sa décision, qu’il était seul à pouvoir prendre et seul avait prise. Ce fut toute l’habileté du cardinal Sodano, doyen du Sacré collège, ancien Secrétaire d’État de Jean-Paul II, remplacé sans ménagements par le cardinal Bertone sous le règne de son successeur, que d’avoir enfermé Benoît XVI dans cette décision. Le 11 février au soir, au nom de tous ses confrères, il remerciait et félicitait le Souverain pontife de cette décision courageuse qu’il déplorait. Mais surtout, il adressait son message au « Pape émérite », Benoît XVI, titre inventé de toutes pièces, et qui le plaçait sur le banc du départ. Canoniquement, Benoît XVI, le 28 février, aurait dû devenir Évêque honoraire de Rome, à l’instar de tous les évêques qui prennent leur retraite à soixante-quinze ans, avec l’approbation pontificale, comme c’est le cas du cardinal Sarah, depuis le 20 février dernier. Cette sorte de « vestibule » emprunté par Benoît XVI pour cheminer vers son départ fut en quelque sorte l’inverse de la « chambre des larmes » dans la chapelle Sixtine, où les papes, à peine élus, ordonnent à la fois l’émotion de la charge acceptée et l’essayage à leur mesure de la célèbre soutane blanche. Benoît XVI continua donc de gouverner et d’agir. Le 14 février, il annonçait que le Préfet de la Maison pontificale, Mgr Gänswein, son secrétaire privé, continuerait d’assurer sa fonction principale, tout en l’accompagnant à Castel Gandolfo. Le 21 février, il confirmait que le rapport d’enquête des cardinaux Herranz, Tomko et Di Giorgi sur Vatileaks et les mœurs, ne ferait l’objet d’aucune publication. Il serait simplement livré à son successeur. Mais surtout le 25 février, il rappelait que l’élection à venir stipulait la majorité des deux tiers. Il revenait ainsi sur la disposition de la Constitution Pastor bonus, publiée par Jean-Paul II, qui permettait la majorité simple au terme de plusieurs jours de scrutins négatifs. Et dans l’hypothèse où le conclave se prolongeait et où l’élection se faisait sur deux noms, outre l’impossibilité pour les deux éligibles de voter, la majorité des deux tiers était maintenue. Enfin, dès le 16 février, le pape avait renouvelé la composition de la Commission cardinalice de l’IOR (la banque du Vatican) pour cinq ans. Il imposait donc un cadre de réformes des finances du Vatican à son successeur. Le cardinal Bertone demeurait président. C’est le 26 février que le père Lombardi, responsable du Bureau de presse, informa les journalistes que Benoît XVI serait « pape émérite », appelé « Sa Sainteté Benoît XVI », conservant la soutane blanche, sans mantelleto (petit manteau court sur la soutane). Ce titre surprenant fut habilement commenté par Benoît XVI le 27 février, la veille de son départ. Il souligna que la renonciation n’impliquait pas un retour à la vie privée et qu’il ne reprenait pas possession d’une vie antérieure. Et la phrase clé de sa position, expliquant son maintien à Rome, fut prononcée : « Je ne porte plus la puissance de l’office pour le gouvernement de l’Église. Mais dans le service de la prière, je reste, pour ainsi dire, dans la Cour de saint Pierre. » En clair, le pape Benoît XVI effaçait toute confusion entre le reniement de saint Pierre et la renonciation. Le pape, dans sa charge abandonnée, restait Vicaire du Christ dans une institution où Pierre occupe la position fondamentale : « Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église. » La suite de cette conception canonique et ecclésiologique du pouvoir de Pierre fut illustrée par la publication de l’encyclique Lumen fidei le 5 juillet 2013. Ce texte premier d’un pape, attendu comme d’usage dans l’année de son élection, écrit initialement par Benoît XVI, fut repris et complété par le pape François. Une encyclique jumelle en quelque sorte. Personne n’aurait pu imaginer que le prédécesseur du pape François resterait comme le témoin proche du pontificat de ce dernier et qu’au-delà de leur harmonie indiscutable, des conflits pourraient surgir, même ramenés à la juste proportion de l’incident. Ce fut pourtant le cas en janvier 2020, lors de la publication d’un livre à deux voix, présumé de concert entre le pape émérite et le cardinal Sarah, réaffirmant le nécessaire célibat des prêtres, après le synode sur l’Amazonie d’octobre 2019, qui ouvrait de larges voies de réflexion. Le pape émérite rappelle quelquefois même le pape François à l’orthodoxie et à la longue tradition de l’Église. Toute l’histoire du pontificat de ce dernier en sera marquée. C’est une autre histoire. Celle d’une entrave par une présence silencieuse, vigilante et respectueuse. Il fut spectaculaire, lors de la canonisation de Paul VI le 14 octobre 2018, d’entendre de longs applaudissements nourris éclater au moment de l’arrivée du pape émérite sur le parvis de Saint-Pierre. Comme une sorte de mesure de la différence avec son successeur, très fatigué ce jour-là. Si le pape François a lui-même l’intention de renoncer, il le peut, mais il ne le doit pas. La Cour de Pierre ne peut pas devenir celle d’une fratrie. Et encore moins un caravansérail. Philippe Levillain Dernier ouvrage paru sur Benoît XVI : La Papauté foudroyée. La face cachée d’une renonciation, Tallandier, 2015 [7] Seule la Bible Vulgate et en français la traduction de l'abbé J. B. Glaire est la référence canonique pour toute l'Eglise. [8] Les évêques en France ont obtenu l'élargissement de l'assiette fiscale en échange, ils se sont tus quat aux abus au sujet de la vaccination anti Covid19 [9] La Loi de bioéthique français, dans son projet initial, autorisait le clonage reproductif humain. Cette volonté transgressive a fait l'objet d'une très longue maturation de la part de ceux qui la voulaient et du législateur. Pour des raisons complexes, et qui révèlent l'étendue de la corruption de toute nature et dans bien des directions étonnantes dans la hiérarchie, les Papes saint Jean-Paul II, Benoît XVI ont failli à leur charge, se refusant solennellement à condamner ce projet de loi et la loi elle-même dont le cœur était d'autoriser le clonage reproductif humain. De ce fait, la prophétie d'Ezéchiel au sujet du Temple de Jérusalem est aujourd'hui accomplie, leur silence s'identifie aux trois reniements de Pierre dans la nuit de l'arrestation de Jésus. Ces Papes s'étant tus sur un sujet d'une telle gravité, leur silence aura eu pour conséquence de faire porter toute la charge de cette transgression universelle sur toute l'Eglise en plus de toute l'humanité, alors que s'ils avaient parlé, condamné solennellement cette Loi, la seule responsabilité et ses conséquences auraient été portée par les décideurs uniquement. Il y aura eu trois reniements : les deux Papes, J. P. II et Benoît XVI ainsi que le collège des évêques en charge du monde entier. Quelques temps après, l'élection usurpée de François, des âmes mystiques ont ressenti un événement surnaturel : Jésus a enlevé quelque chose du pouvoir ou de l'état épiscopal ; cet événement surnaturel, selon Anne Catherine Emmerich, ce serait déjà produit juste avant qu'Adam et Eve ne s'exposent volontairement à la tentation et succombent. Cette situation nouvelle, pour l'ère chrétienne, annonce une purification universelle et dans tous les actes humains naturels et religieux, et confirmerait que beaucoup de nos responsables politiques, religieux etc., plus à cause de leur péché que de leur qualité se trouvent à des responsabilités dans la même configuration que le roi Nabuchodonosor. Dieu se sert des affidés du mal, des anges-déchus pour exprimer sa Justice et sa Miséricorde. C'est sans doute le cas du cardinal Georges Marie Bergolio, car jamais un successeur de Pierre n'aura été à ce point facteur de division, humiliation envers les fidèles du Christ et si peu bienveillant quant aux catholiques en Europe.
Merci de nous faire part de votre pensée concernant cette période si terrible et imprévisible de notre Eglise bien aimée! Il semble bien en effet que l'Eglise tout entière s'achemine vers sa mort en vue de sa résurrection dans le Christ... La persécution des fidèles par François l'atteste, malheureusement; il n'est pas anodin que cette persécution se focalise sur la messe, justement, messe qui a été interdite par François lui-même lors de la plandémie Covid 19... Les faits sont très révélateurs, et François ne cesse de donner des gages à l'agenda mondialiste de Schwabb, l'église se devrait maintenant d'être inclusive, aux couleurs LGBT, dans une confusion diabolique entre l'accueil dû à chacun et les exigences de la vérité et de…