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LA MÉMOIRE UN ENJEU PROMÉTHÉEN de P. C. A. St P.



LA MÉMOIRE : UN ENJEU PROMÉTHÉEN


( Ce texte sera suivi de la démonstration de l'animation au premier génome et de la Memoria dei. Il reprend un thème et un article déjà publié ici, mais développé avec le souci de la rendre compréhensible à tous. )

L'importance des milieux scientifiques et technologiques dans le contrôle et la soumission des peuples est une réalité stratégique à ne pas prendre à la légère. C'est pourquoi, se contenter de protestation est stérile. Il faut argumenter sur les faits et se poser du point de vue de la recherche du Bien Commun, ce qui implique de revenir aux fondamentaux de la Loi Morale ou Loi Naturelle.

La Memoria dei ou mémoire ontologique est un enjeu prioritaire pour les décideurs du mondialisme[1] depuis la découverte de l'ADN. Une donnée que la résistance devrait intégrer avec une analyse critique des milieux scientifiques dont beaucoup sont devenus l'un des plus dangereux bras armés du mondialisme comme l'aura mis à jour la pandémie de la Covid19.

La Memoria dei ne peut être atteinte directement. C'est pourquoi les savants acteurs du mondialisme ont pris comme angle d'attaque la modification des possibles. Ils ont pour cela un cadre juridique dans la quasi-totalité des états membres de l'OTAN. Leurs recherches dans les sciences de la génétique constituent un réel potentiel de dangerosité. Il ne s'agit pas de science-fiction, mais d'une réalité à portée de mains. Les émules de l'antéchrist, relayés par de multiples sectes, sociétés occultes, initiatiques s'efforcent de faire admettre la légitimité de leur volonté de transgression. Ils peuvent accéder aux possibles qui ont leurs sources dans les Puissances de l'âme par l'ADN. Leur intention est de créer une caste de sous-humains corvéables à merci : des sans-droits, sans identité civile. Ils appartiendraient à leur propriétaire comme un mobilier. Une race sous-humaine coûterait moins que l'entretien d'un animal de compagnie et pourrait satisfaire à tous les appétits les plus immondes sans aucune contrainte légale, d'autant plus facilement que serait altérée leur conscience morale et donc celle de leur propre existence[2]. Le transhumanisme – l'homme surajouté – en est l'aspect le plus séduisant et populaire par le truchement des œuvres de science-fiction[3]. Ils tendent à détacher, par ces œuvres de fiction, leur projet de toute conscience morale et, dissimulant les vrais enjeux. Ces œuvres développent une culture hors-sol qui, par l'imaginaire, favorise les manipulations des peuples, coupant le sujet de la réalité et de l'exigence morale de la vérité.

Un tel projet assoirait définitivement l'autorité des milieux scientifiques qui sont déjà sous l'autorité des financiers et autres industriels pharma­ceutiques et de la santé. Les nouveaux seigneurs de guerre, situation établie avec les pandémies artificiellement propagées et, les projets d'armes bactério­logiques découvertes en Ukraine. Les mythologies antiques portaient ce projet transgressif, les sphinx en témoignent entre autres. Leurs dieux étaient des hommes totalement donnés aux puissances du mal[4].

La Renaissance, en se réappropriant les cultures antiques grecque et romaine, renouait les liens avec leur mythologie et par eux se reliaient aux racines chaldéennes toujours actives de par le monde. La Renaissance les réintroduira dans la civilisation chrétienne, polluant progressivement la perception et l'importance des vertus sur lesquelles elle a été fondée. Une infestation aggravée avec la systématisation des campagnes archéologiques entreprises sans prudence et, dans certains cas, avec l'intention de retrouver des lieux et des liens avec les rites abominables de l'antiquité païenne. La curiosité peut être une appétence redoutable, fatale. L'introduction d'objets de l'antiquité païenne comme les obélisques de la place Saint Pierre de Rome et la place de la Concorde ou les collections privées et nationales sont autant de relais dans l'ordre des puissances du mal. Qui s'en soucie aujourd'hui[5] ?

Le législateur porte ces différents projets abominables depuis la décou­verte de l'ADN. Les lois sur le divorce, sur la filiation, sur l'héritage, la culture idéologique concernant l'identité et la place de la femme, la rupture relation­nelle avec le mariage et la maternité, loi du mariage homosexuel, amenant le renversement anthropologique ainsi que les lois Neuwirth, Veil ont imposé la modification du code de santé publique pour finir par la Loi de Bioéthique, et toutes celles touchant la fin de vie et la procréation. Le législateur porte la responsabilité du reniement de la Loi Naturelle, provoquant un effondrement métaphysique qui entraîne la surdité de la conscience morale individuelle et collective au nom d'un progrès dont nul ne sait comment le définir. Cette situation est ressentie avec l'excroissance de la délinquance juvénile, les violences conjugales et la banalisation de pratiques amorales. Il se constate un lien de causalité entre cette décadence morale et les pratiques transgressives quant au mode de réception des sacrements depuis le Second Concile du Vatican, renforcées par une réforme liturgique actée en 1972 et qui amena le Pape saint Paul VI à les dénoncer en ces termes la même année : "Les fumées de Satan sont entrées dans l'Eglise." Les peuples sont habitués, par doses homéopathiques, au mal entant norme culturelle au nom d'une liberté aliénante.

Les scientifiques ne peuvent pas atteindre directement aucune des trois Puissances, mais ils s'intéressent très fortement aux possibles de la Memoria dei, d'autant que la Loi de Bioéthique les autorise, ne contient-elle pas le droit à la production du clonage humain. Ils peuvent altérer les possibles et donc intervenir dans le développement du petit d'homme à savoir une PERSONNE. Les recherches portent sur l'épigénétique, avant le génome ; le génome, l'instant de la fusion des deux ADN ; l'embryon, le développement de la personne qu'elle est dès le premier génome. Ils produisent des chimères, le Japon est en tête dans ce domaine. C'est par les possibles qu'ils peuvent modifier la conscience morale. Monsieur Hollande[6] a accordé par décret, au titre de recherches thérapeutiques, l'autorisation d'interrompre l'évolution sexuelle d'un sujet supposé avoir possiblement des tendances sexuelles agressives. Au nom de l'ordre social, un sujet est préalablement coupable d'un crime en puissance. Mais qu'avions-nous besoin de juger les nazis ? Ils produiront des sans-identités, des sans-droits, ils compléteront la procession des sans-dents, des utilitaires pour tout usage et jetables, les invisibles, les riens. Un projet lové dans les idéologies réunis dans le néo-libéralisme, le dépotoir à usage des mondialistes dont le communisme et le nazisme font partie.

Il importe d'intégrer dans notre réflexion de résistant la problématique des nanotechnologies que l'on peut ingérer à notre insu dans la nourriture et dans les vaccins.

Les sciences de l'atome sont également collaboratrices du mondialisme. En effet, selon nos sources, provenant de chercheurs du CERN de Genève, ce laboratoire fut le théâtre d'une tentative de communication physique avec les royaumes parallèles de Lucifer. Ils ont cherché à reconstituer les tunnels de communication avec les puissances du mal. Le projet était de bombarder une particule d'antimatière, ce à quoi ils se sont essayés et qui a failli détruire le laboratoire et a provoqué un déplacement de celui-ci de quelques degrés, ce qui a été constaté lors du phénomène des grandes marées ou hautes eaux. S'ils avaient atteint leur objectif, nous aurions connu de très sévères dévastations. Ils ont voulu reproduire scientifiquement ce que les prêtres idolâtres de l'antiquité avaient obtenu par leurs rituels, des tunnels de communication avec les puissances de Lucifer[7]. Nous sommes bien au-delà de la science-fiction : les délires d'orgueil, la volonté d'asservir l'humanité au seul profit d'une élite. La structure pyramidale exacerbée. La démocratie et le concept de nations libres réduits à néant révèlent les véritables intentions des puissances occultes depuis la Renaissance.

Le silence de l'Eglise sur les sciences et techniques est une faute alourdie par l'obstination à se taire quant à l'animation et la Memoria dei ainsi que pour le dogme de Marie Co-Rédemptrice. En effet, elle semble n'avoir jamais su se délivrer du piège tendu à l'occasion du procès de Galilée, mais avec rigueur, il a été démontré la falsification de cet événement, puisque c'est le mauvais caractère du personnage et sa grossièreté qui a contraint le Pape d'alors, son meilleur ami, à le faire juger. L'Eglise devrait assumer sa part d'erreur et retrouver sa libre parole au sujet des sciences et techniques en engageant son infaillibilité morale et son sens du Bien Commun universel.


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[1] Ne pas confondre mondialisme qui est une intention hégémonique mondial par le seul pouvoir financier et une élite tirée sur le volet non selon ses qualités morales mais plutôt l'inverse ; alors que la mondialisation, qui est devenue cahin-caha le cheval de Troie du mondialisme, mais qui reste la dénomination de la multiplication des moyens de communication et relationnels.

[2] Un tel projet en lui-même ne peut venir que d'esprits consciemment engagés dans la transgression, et leur possibilité est envisagée dans le cadre d'un législateur acquis à cette pensée transgressive et habitué à faire voter des lois liberticides. Nous sommes dans ce cadre-là. Le législateur donne au mal une place dominante et protégée dans le droit civile qu'il introduit dans tous les domaines de l'acte humain et de la société. Cette situation est dans la continuité de la révolution de 1789. La république tire sa légitimité de la loi ce qui est insuffisant pour prétendre gouverner un peuple, mais fu fait que le législateur se détourne de la Loi Naturelle et du Bien Commun ni lui, ni la république n'ont plus aucune légitimité et aucune institution. Car la légitimité procède d'un principe qui est certes le peuple mais en lien avec la Loi Naturel et le Bien Commun dont il a le sens inné, et surtout ce lien rejoint un principe qui est en Dieu et que la révolution a rompu, mais comme la rupture est venue de l'homme, le principe reste inchangé en Dieu. Les Etats qui ont fait voter ces lois depuis l'avortement n'ont en fait aucune légitimité quant à leur mode de gouvernement. Les peuples sont écrasés par un très lourd mensonge. Lors de l'Avertissement ou l'Illumination des consciences cette prise de conscience s'imposera à chacun, et pour beaucoup ce sera une très douloureuse vérité.

[3] Richard Fleischer, sorti en 1973. Inspiré du roman Make Room avec Charlton Heston.

[4] Cf. les travaux de Combrette et les révélations de Catherine Emmerich quant à l'Ancienne Alliance.

[5] Certainement plus depuis la mort du Pape Benoît XVI, il n'y aura bientôt plus de résistance efficace avec la disparition des derniers pères du Conciles Vatican II consacré selon l'ancienne liturgie tridentine.

[6] Le président Hollande, en amont du débat sur la loi du mariage pour tous et très discrètement, a signé un décret autorisant l’intervention sur l’embryon en vue d’arrêter l’évolution sexuel d’un sujet, au prétexte qu’il y aurait des signes significatifs sur l’ADN d’agressivité voir de perversion. Il n’y a là aucune fin thérapeutique, mais en bloquant l’évolution sexuelle, c'est celle des affectes qui est atteinte et donc par voie de conséquences la conscience morale et celle de l'être. Cette interruption porte atteinte au déploiement des possibles contenues dans les trois Puissances de l’âme, elle n'a qu’un seul objectif : rendre possible la création d'une classe de sous-hommes esclaves ou de chiens de guerre. Quelle différence y-a-t-il entre Hollande socialiste et le nazisme ?

[7] Le baptistère construit à la demande de saint Irénée de Lyon a servi pour bloquer l'un d'entre eux.

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