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DANS LE REGARD DU DIEU D'#ABRAHAM - #COMMUNAUTARISME - #FRATERNITÉ





" AU SERVICE DE LA DAME DE TOUS LES PEUPLES"


"Sois Mon enfant de Lumière ; Je suis Celui qui t'aime le plus et Je suis Celui qui te bénis le plus ; Mon amour jaloux que J'ai pour toi enflammera ton petit cœur en une torche de lumière afin qu'à ton tour tu enflammes également d'autres coeurs pour qu'ils M'aiment sois Mon autel brûlant de Mon Amour ; propage cette flamme et anime même les pierres à devenir Mes fidèles serviteurs ; ne fois aucune différence ni de couleur ni de croyance ; vous êtes tous faites à Mon Image, et Mon Sacrifice a été accompli pour toutes les Nations ; soyez un sous Mon Saint Nom..." (Message donné par J.C. à Vassula Ryden le 25/09/188)




INTRODUCTION :

Le qualificatif « communautarisme » est très péjoratif, car il blâme les personnes réunies par une croyance religieuse, une culture, une ethnie, il les touche dans leur être, atteint leur conscience. Une attitude qui répand des peurs irrationnelles et accroît leur marginalisation, que des agitateurs instrumentalisent. C’est une atmosphère périlleuse puisqu’elle empêche un accomplissement social naturel ce qui pousse le sujet à rejeter les normes du pays accueillant, renforçant les malentendus. Les analyses et autres prospectives qui traitent de cette question sont biaisées et inappropriées.


La manière dont est approché le problème par nos experts révèle plusieurs constantes : la dialectique ou l’hégélianisme, le mondialisme qui en est devenu le principal instigateur avec le néo-libéralisme qui est son cache-misère. Les analyses sont soit approbatives, soit désapprobatrices, mais toutes les deux concourent à la division, et poussent les acteurs à une judiciarisation comme solution mécanique aux conflits sans prendre la mesure des effets collatéraux comme une montée du manque de respect de la personne, car cette démarche judiciaire systématique procède pour chaque partie d’une posture accusatrice ; c’est le principe même de la dialectique et de l’esprit des lois selon Montesquieu et ce qui a favorisé la Terreur sous la révolution de 1789. Cette approche à double détente alimente les néo-racismes communautaires : « SOS racisme », « Touche pas à mon pote », etc. Elle fomente des injustices, rejette ceux qui ne pensent pas selon la « norme » imposée, et crée des tensions là où il y aurait place pour une authentique fraternité et solidarité, ce qui favoriserait l’apaisement de la société.

Comment éviter de se laisser entraîner dans ces confusions et manipulations ? Il faut identifier les causes, analyser les mécanismes. Mais pour y parvenir, il importe de se délivrer des philosophes des lumières, de l’humanisme païen ainsi que des idéologies. C’est un effort intellectuel indispensable, car on ne peut avancer vers une compréhension et une solution sans un exposé du réel et accepter l’autorité de la vérité qui en découle. Une telle rigueur permet de se défendre de toute manipulation, elle favorise une approche objective. Il est impératif d’accueillir et de relater les faits pour ce qu’ils sont, et non pas de les rêver. Ce n’est pas avec une certaine idée que l’on se fait qui nous aide à tirer la société vers le meilleur d’elle-même, mais avec la vérité et un courage moral ce qui demande l’abnégation de soi.

LES CAUSES :

De nombreuses causes et autres facteurs favorisent le resserrement communautaire jusqu’à sa pétrification asociale ce qui amène à d’inexorables violences de toute nature dont la criminalité. Une situation fortifiée par les problèmes économiques, l’insécurité, conflits politiques, environnementaux, religieux, culturels, et surtout l’indifférence d’une société de consommation qui est de moins en moins partageuse dans ses larges fondations.

La problématique du communautarisme est multiforme selon le regard extérieur à cause de la permanence de la grille révolutionnaire pour l’Occident, et d’un racialisme culturel diffus, ordinaire essentiellement due à une décolonisation aussi barbare qu’inhumaine, au rayonnement du conflit israélo-palestinien et le dynamisme inventif de la migration asiatique. A tout ceci s’ajoute pour le migrant la voie sans issue qui l’accule à des raidissements religieux, identitaires, il n’a d’autre possibilité pour s’affirmer que d’entrer en infraction selon la loi, selon les mœurs, car la société qu’il affronte ne lui propose que d’abandonner ce qu’il est, d’accepter la séduction des espaces actifs des corruptions.

Les facteurs économique et financier sont les plus déterminants puisqu’ils obéissent aux manipulations mondialistes qui ont un lien de nécessité à attaquer les religions monothéistes, car celles-ci peuvent mieux que tout autre résister à ce projet monstrueux. Derrière ce terme « mondialisme » le capitalisme, le libéralisme n’en sont pas les seuls agents, une certaine Gauche est entièrement partie-prenante ; cet objectif réunit des gens de toute condition au tour d’une idée qui fait frémir l’enfer lui-même ; ce n’est pas par ingénuité que le Président Macron déclara le 16 avril 2020 aux journalistes du Financial Times « que la bête était là ». La pratique de la délocalisation qui en est l’un des aspects les plus douloureux est due à l’exigence des détenteurs des fonds de pensions, c’est aussi un instrument de chantage politico-financier qui s’exerce au moyen des entreprises multinationales sur les Êtas. Elle produit des crispations nationalistes, communautaires qui sont justifiées parce que les richesses dues aux travailleurs et autres acteurs sociaux comme la commune, le département, la région et l’État ne sont pas redistribuées de manière équitable. Les chefs d’entreprises, les décideurs financiers n’ont aucun entendement en ce qui concerne le bien commun, ils sont indifférents à l’intérêt général, ce que dénonce le Pape François dans son exhortation Querida Amazonia et dans son encyclique l’Audate Si.

La façon dont sont abordés les problèmes du communautarisme confirme une intention qui poursuit la mis en place institutionnelle d’un mondialisme avec un gouvernement supranational qui n’est viable que par la contrainte, la restriction des libertés fondamentales dont celles du culte. Car la vie religieuse et spirituelle est une force d’opposition radicale qu’ils doivent absolument réduire voire anéantir surtout si ces religions sont monothéistes. Les enjeux sont considérables et pour y parvenir ils montent les religions, l’une contre l’autre, les cultures entre elles tout en niant le conflit culturel, et ils inventent des racismes allant jusqu’à les susciter. En montant les musulmans contre les chrétiens, ils espèrent que les seconds seront soumis ou très minoritaires afin d’avoir les mains libres pour supprimer les premiers, puis ce sera de nouveau la persécution contre les juifs messianiques pour que ne restent que les décideurs économiques et financiers avec le saupoudrage d’une religion universelle aux ordres.

D’autres facteurs contribuent au communautarisme ; il y a d’abord les médias dont le partage idéologique n’est qu’un faux semblant ; la presse de Droite masque la superficialité de ses pseudo-analyses en dramatisant le sujet ce qui renforce les peurs et donc les tensions, celle de Gauche joue la carte de la compassion du Bon Marché et de la culpabilité alors que toutes les deux sont les alliées du projet mondialiste avec la complicité double face de certains ténors de la politique et du monde culturel quand ce n’est pas celui du cultuel. Il suffit d’observer les chaînes d’informations pour constater à quel point en France les dés sont pipés et que nos chers journalistes se transforment aisément en commissaires de la pensée politique.

A cet inventaire, ajoutons les associations de toutes sortes dont les plus dangereuses les O. M. G qui ont l’art du caméléon, elles se transforment en

O. G. M, et leur sont associés les ingénus rêveurs, vestiges du mouvement hippy, futurs accusateurs publics, et les radicaux d’un pseudo-nationalisme que l’on dépose heureusement chaque matin après le petit café. L’enfer n’est-il pas pavé de bonnes intentions ?

On ne peut taire les évènements de Mai 68 dont les conséquences demeurent dévastatrices. En effet, ils ont favorisé la paupérisation de l’enseignement public, un effacement progressif de la mémoire historique donc collective, ce qui favorise un repli communautaire de classes sociales, aggravé par la disparition de la moyenne et petite bourgeoisie qui était le socle de la stabilité de la société et un facteur constant dans la circulation des richesses monétaires, mais aussi les connaissances et la culture, un savoir vivre ensemble. Car Mai 68 c’est aussi la révolte qui ouvre la voie au néo-libéralisme, la face la plus perverse du capitalisme ultra-libéral. Les ordonnateurs de ces troubles, dès la seconde quinzaine de ce mois de mai, furent nos mandarins actuels, ceux qui se complaisent dans la lubricité des jeunes pouces printanières avec la complaisance de nos chères institutions. Du point de vue économique ce sera le début d’une politique d’assistanat créant des dépendances financières avec l’État et les pouvoirs financiers ce qui permet progressivement et sans douleur de contrôler le citoyen jusque dans son intimité, jusque dans l’usage de sa conscience.

Il faut inclure l’acteur le plus dévastateur, la laïcité idéologique, ce laïcisme propagateur des intolérances légales, promoteur des désunions nationales, sous-tendant un état larvé de guerre civile dont le principal allié est l’Éducation Nationale avec une neutralité aussi visuelle que l’Arlésienne de Bizet. Cette institution est devenue une prédatrice de la famille et de l’innocence de notre jeunesse. Le laïcisme militant, qu’on le veuille ou non, a une psychologie proche des Saint-Juste, des dictatures les plus inhumaines dont nous avons encore la mémoire.

On ne peut ignorer non plus, les institutions internationales ou Européennes dont la mission première est d’accélérer l’effondrement des États pour une vague autonomie régionale qui sera la mâchoire sans conscience de nos libertés publiques et privées. Nous nous trouvons en présence d’un projet qui est une inversion de l’ordre naturel, une inversion décidée dans l’ébauche de la Société des Nations dont l’amorce se trouve dans l’intention dissimulée du Traité de Versailles sous l’influence insalubre du Président Wilson.

Face à cette configuration comment peut-on encore s’étonner et s’alarmer du communautarisme ? C’est l’hôpital que se fout de la charité… ce qui est assez logique puisque la Loi Naturelle est maintenant renversée.

Mais il y a un facteur religieux qui ne peut être tu puisqu’il initia par ses conséquences sur les champs morphogenèses l’accélération du mouvement communautaire. Il s’agit des effets de la crise dont le Second Concile du Vatican fut le prétexte, aggravée par les médias ce que dénonça en son temps le Pape Benoît XVI. Les fruits du Concile ont été momentanément inversés par une communication partisane. La confrontation de deux courants minoritaires, mais très actifs : les ultra-conservateurs et les ultra-libéraux a contribué au communautarisme chacun ayant son drapeau sur lequel s’entremêlaient les choix politiques, idéologiques et les médiocrités.

Sur les causes et les effets du communautarisme il y aurait beaucoup à développer, mais les grandes lignes fixées ici donnent une idée assez juste des enjeux réels qui se dissimulent derrière cette fausse problématique ce qui devrait alerter tous les justes, les hommes et les femmes de bien.

LA FRATERNITÉ :

Comment résister aux manipulations et réduire les tensions entre les personnes de culture diverse sans dissoudre leur identité ? La réponse passe par une réflexion sur ce qui nous unit et moins sur ce qui nous oppose.

Inventaire de ce qui nous unit :

1- Quelle que soit l’ethnie, il n’y a qu’un genre humain, tous s’en reconnaissent.

a) L’homme et la femme ont chacun une âme, un esprit et un corps, et tous obéissent à la loi naturelle de la génération, ils procréent. Ils ont été créés complémentaires alors que la modernité malsaine les oppose sans cesse.

2- Nous reconnaissons unanimement l’autorité de la Loi Naturelle.

b) Le principe normatif du renouvellement des générations est universellement admis.

c) Le souci de justice accompagne celui de la prospérité, car il est nécessaire de pourvoir à l’habitat, de se nourrir, de s’éduquer, accéder au savoir et aux soins.

d) La nécessité d’une authentique solidarité.

e) La protection de la Création puisqu’il s’agit de notre environnement naturel et commun.

3- La recherche légitime d’un sens à notre existence.

f) Une mémoire individuelle, collective et universelle.

g) La recherche de la paix.

Mais il y a surtout un défi à relever celui que pose un mondialisme qui a besoin de renverser l’ordre naturel et d’éloigner l’homme de son Créateur jusqu’à tout faire pour en effacer la mémoire en lui-même pour se réaliser, et pour ces agents du mondialisme ces préalables justifient les violences de toute nature en faisant en sorte que le bon citoyen y collabore par besoin de confort. C’est ainsi que tous tracent le chemin pour un messie politique, un antichrist.

L’homme mondialisé est un être sans autre but que la jouissance, il est tout à la fois le consommateur et le consommable.

La solution se trouve dans l’instauration d’une fraternité basée sur une résistance commune en affirmant notre attachement à un mode de vie conforme à la dignité de l’homme. Nous devrions nous inspirer des appels venant de certains représentants des trois religions monothéistes. Cette fraternité est encore possible, elle peut s’établir à l’échelle du quartier, de la paroisse, de la mosquée, de la synagogue en se fixant des objectifs précis et écartant les disputes théologiques et philosophiques, il nous suffirait de coller aux fondements de la Loi Naturelle. Nous nous référerions au Dieu Unique d’Abraham.


Liens des sources :


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