"Nos sociétés découvrent leur nuit de l’effroi. Elles délivrent le désespoir des fauves sans collier. Ils déchirent les chairs de leur prochain, parce qu'ils ne savent pas comment se soulager de leur trop plein de leurs déchirures. Elles leur fourbissent les épées de leur colère désespérée. Tout leur est prétexte comme exutoire, et prennent une vie pour un téléphone."
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