LA BAMBINA
#LOI DE BIOÉTHIQUE
LA TROISIÈME #TRANSGRESSION SUPRÊME
OU
LA DÉCHIRURE DU PÈRE ÉTERNEL
1er Chapitre
Introduction Générale
Le sujet que je reprends[1] est une narration tragique. Il s’agit de soulever le couvercle, qui pèse sur l’autorité de la vérité, et concerne la Loi de bioéthique, couvercle qui n’a pas été levé à ce jour.
La Providence m’a introduit auprès de ceux qui étaient entrés en résistance contre ce projet de loi, et dont l’un des animateurs était le Père de Vergeron. Il soulevait d’énormes et multiples questions, elles concernaient l’atteinte réfléchie contre Dieu le Père dans sa Procession de Lumière de sa Paternité Incréée, au moment où Il crée l’âme spirituelle, à l’instant T du premier génome, celles contre la dignité ontologique de l’homme et la mise en danger de l’humanité dans son processus de renouvellement de génération. Je n’y ai pas adhéré tout de suite. Il m’a fallu du temps pour accepter, et comprendre la portée métaphysique et mystique de cette loi, et surmonter la vérité, inconcevable pour moi, que des scientifiques, des politiques, des philosophes, des théologiens, des évêques et autres responsables religieux de différentes confessions puissent se rendent coupables d’une telle forfaiture.
Ils auront forgé l’accès à la Troisième Grande Transgression[2], des artisans zélés et tout à fait conscients des enjeux et de la nature de leur trahison. C’est une apostasie pour certains prêtres, évêques, laïcs, car l’intention de ces décideurs était de renverser le paradigme divin pour imposer celui de l’homme d’iniquité. Les chercheurs du #CERN, lors d’un entretien accordé à la presse dans les années 1980, l’ont explicitement exprimée. Une volonté transgressive, qui se déploie au cœur de la narration eschatologique. La mise en œuvre de l’Apocalypse commence en 1976[3] résultant des applications du nouvel ordo sacramentel adopté définitivement en 1972, et contre lequel le Pape saint Paul VI ne put rien faire[4], elle s’est accélérée avec l’élection et la renonciation du Pape émérite Benoît XVI.
La Loi de bioéthique est un drame cosmique, elle accomplit les Écritures, non que Dieu l’approuve, mais elle a été prophétisée parce qu’elle est une étape logique, inscrite dans les effets seconds de la faute originelle. C’est la vision du Temple chez le prophète Ezéchiel : « […] Et il me dit : Fils d’un homme, lève les yeux vers la voie de l’aquilon ; et voilà que du côté de l’aquilon de la porte de l’autel était l’idole de la jalousie à l’entrée même. […] Et soixante-dix d’entre les anciens de la maison d’Israël se tenant debout devant les peintures, […], ce que les anciens de la maison d’Israël font dans les ténèbres, chacun dans le secret de sa chambre […][5].
La Loi de bioéthique lève le voile sur l’abîme du mal, un coup de projecteur cru sur les puissances dévastatrices, qui dès lors que la Loi fut votée en 2004 se déverseront sur la terre par l’inconcevable collaboration d’hommes d’iniquité, agissant de libre-propos, se faisant les affidés du Malin, de Lucifer. Les députés et les sénateurs, des médecins, des chercheurs ont été individuellement informés des enjeux d’un tel projet : penseurs, rédacteurs, élus, décideurs, milieux sociaux, financiers, partis politiques, institutions s’impliqueront en la défendant, et empêchant toutes possibilités de communiquer sur sa dangerosité par ceux qui s’y opposaient. Ils n’en ignoraient pas les conséquences morales, juridiques, scientifiques et surnaturelles ni les conséquences cosmiques, ni les souffrances pour toute l’humanité qui en découleraient. Mais rien n’y fera ! Une volonté malfaisante dominait leur esprit. Ils agissaient en serviteurs du Malin.
Le sujet est grave, pesant, bouleversant, difficile à comprendre. Il nous met en présence de notre blessure ontologique[6] ; mais au-delà de cette épouvante, nous avons la certitude du triomphe du juste, du pauvre de Yahweh. Oui, il y aura un temps pour le fracas des hommes mauvais, il a commencé ; il sera suivi d’un silence subitement rempli du tonnerre de Dieu, et tout sera consommé pour notre génération.
DE L’USAGE DU LIBRE-ARBITRE
« La Renaissance s’élève sur cette proposition : l’homme n’a pas besoin de Dieu pour s’accomplir »[7]. Je citerai également Sœur Lucie, l’une des trois voyantes des apparitions de Fatima qui ont eu lieu en 1917 au Portugal, elle écrit à son évêque : « Aussi, dès à présent ou nous sommes à Dieu ou nous sommes au démon ; il n’y a pas de moyen terme.[8] » Elle écrira également : « La troisième guerre mondiale a commencé, elle est contre la famille et contre la vie, on déplace des cellules de vie… »
Il n’y a pas d’absolu du mal, car c’est un relatif. Sa cause première est le rejet du Bien Souverain, et il ne change pas l’intention du Créateur quant à son projet sur la création ni sur la cause finale naturelle : l’homme.
La seule approche possible de ce problème est de regarder l’usage du libre-arbitre propre à toute créature intelligente pour en comprendre les conséquences métaphysiques, historiques, sociales du péché originel, et donc du comment cette catastrophe cosmique a pu se produire.
Les physiciens quantiques désignent le péché originel comme un collapsus ou effondrement cosmique ; ce qui est une reconnaissance implicite, que la création tout entière a connu un état de perfection, état qu’elle perd par un acte libre posé par Adam et Eve, qui aurait dû l’anéantir si Dieu n’était intervenu dans ce qui faut bien appeler la première manifestation de sa Miséricorde en vue de la Passion, de la Mort et de la Résurrection de son Fils, le Verbe, Jésus-Christ. C’est pourquoi, il est dit de Lui qu’Il récapitule tout de la création à l’histoire par son sacrifice.
Cet événement historique se retrouve dans les récits « mythologiques » de la quasi-totalité des religions du monde avec des variantes, des corruptions comme dans les traditions orales des chasseurs-cueilleurs, qui occupent, encore aujourd’hui, le centre et les déserts de l’Euro-Asie.
Le mal existe-t-il en tant qu’élément de la création ?
1- Le mal :
Le mal n’existe pas. Il ne se voit pas, il ne se touche pas, il n’est pas créé, ce qui se voit de lui sont les conséquences, les souffrances. C’est le produit d’une volonté qui se refuse au bien, à l’amour, à la vérité. C’est une soustraction, un vide, un manque. Ceux qui sont au mal, esprits malins ou hommes dénudés de vérité, d’amour, sont des intelligences ayant refusé le bien, la vérité, l’amour. Ils se sont inversés sans aucune possibilité de retour sur eux-mêmes, puisque pour les anges, leur acte de refus a été posé dans une totale connaissance du bien qui leur était proposé et dans lequel ils vivaient ; pour les hommes d’iniquité, ils ont usé de leur libre-arbitre, se refusant à Dieu et donc au bien au point qu’ils n’ont pu accepter la Miséricorde divine lors du jugement particulier. C’est le refus de vivre de la liberté de Dieu.
2- Adam et Eve : le péché de curiosité
Adam et Eve ont été créés libres et purs de toute tache, car l’Être Premier, Dieu, Cause Première n’a en Lui aucune cause diminuante, Il est le Saint. Adam et Eve forment le premier couple : le monogénisme est une définition dogmatique du Magistère infaillible de l’Église, ce que confirment les généticiens[9]. Leur faute aura été de désobéir par curiosité, car ils ont vu le fruit, ils ont désiré le connaître, incités par le serpent qui était la forme qu’a prise Satan pour tenter Eve, l’un des princes de l’enfer, le Tentateur. Mais tous les deux ont péché ; ils ont désobéi à l’intérieur de leur Union Sponsale, qui s’est constituée dès l’instant où Adam a pris Eve pour femme[10]. La faute originelle est donc universelle, et ses conséquences se transmettent de génération à génération.
La nature de cette faute étant la curiosité, l’un de ses effets porte sur la recherche de la connaissance, l’accumulation du savoir pour lui-même et le développement de la volonté de puissance.
Ses conséquences métaphysiques sont d’abord un collapsus cosmique, un effondrement de la création sur elle-même, car l’homme et la femme étaient en communion parfaite avec elle, tout en lui étant supérieurs par leur nature spirituelle, et ayant reçu la mission de la dominer, de la domestiquer selon l’intention du Créateur, puisqu’Il les à associés au perfectionnement de celle-ci par une attitude intérieure qui se traduisait par la permanence de l’action de grâce. Tout ce qu’ils faisaient et leur existence même étaient action de grâce.
Ce qui rend la Loi de Bioéthique si traumatique, c’est qu’elle est en lien avec la condition initiale et juste de l’homme et de la femme. Ils sont roi et reine de la création, ce n’est pas de leur fait ; c’est l’ordre voulu par le Créateur. C’est le fondement de l’anthropologie[11].
Dans le Paradis[12], toute la création reposait sur un seul champ morphique puisqu’il n’y avait pas de division. Avant la faute, il n’y a qu’un champ[13] morphique et qu’un seul champ mémoriel interrelationnel, mais après l’effondrement, ces champs vont se multiplier entre ceux du mal, inversés, et ceux du bien, dans l’intention de Dieu. Il y a trois natures de champs : champ forme (le minéral), champ morphogénique (les ordres végétal et animal), champ mémoriel interrelationnel (le règne de l’homme).
Dans ma série d’articles ayant pour titre La Brunante des Dieux[14], je développe les aspects peu connu de cet effondrement. Les champs agissent un peu comme les ondes scalaires produites par le lancé d’un caillou sur la surface d’une eau calme, à ceci près, qu’il s’agit d’un champ électromagnétique, un champ de force qui, selon sa qualité, est au bien ou au mal. L’homme participe à l’extension de l’un et de l’autre.
Ces champs sont des enjeux considérables pour les savants aux ordres de la Kabbale, de l’état profond. Ils voudraient les utiliser comme tunnels pour communiquer directement avec les puissances infernales[15], et parvenir à renverser le paradigme divin, à seule fin de démontrer que l’homme est capable de Dieu et qu’il n’a donc aucun besoin de Lui. Les enjeux des sciences génétiques et physiques nucléaires, à cause de cette recherche de communication avec l’enfer, sont très importants dans l’ordre du mal. Nous devons comprendre que tous les domaines du possible de l’homme sont actuellement infestés par les anges déchus, anges-démons ; certaines avancées scientifiques n’ont pu être atteintes que par des rites sacrilèges et sacrifices humains pour obtenir l’aide des anges-démons.
___________________________________________________ [1] - Essai : La Science Prométhéenne [2] - Les deux précédentes grandes Transgressions sont, dans l’ordre de leur consommation, le péché originel et le jugement inique contre Jésus, jugement portée contre la Vérité. [3] - Cette date précise a été donnée par saint Padre Pio lors des apparitions de Manduria. [4] -Nouvel Ordo rédigé sous l’autorité de Mgr Bugnini il fut attesté qu’il était franc-maçon. Sa rédaction comporte des failles, blessures intentionnelles dans les rituels sacramentaux. [5] - Ezéchiel ch. 8 et 9 [6] - Ontologie est l’étude philosophique de l’être et des concepts qui structurent ses propriétés, mais elle s’oppose à la métaphysique qui est l’alliée de la théologie ; Descartes s’en servira, il sera l’initiateur de l’ontologisme pour aboutir à la négation du principe d’existence qui précède la pensée, il l’inversera avec son : « Je pense donc je suis. » L’ontologisme deviendra une arme contre la doctrine de l’Église, et nécessitera de façon pléthorique la manipulation sémantique. En son début, le concept d’ontologie était synonyme de métaphysique. [7] - Extrait de mon essai : La science Prométhéenne [8] - Écrite peu avant sa mort. Elle eut lieu le 13/02/2005 (le lendemain de l’anniversaire de la première apparition de Notre Dame à Lourdes), soit 45 jours après la publication du décret de la Loi de bioéthique, le 22/12/2004 soit 6 dimanches ce qui donne symboliquement l’entrée au désert 40 ans, l’entrée dans l’exode intérieur. : « O Roi de l’univers, O Désiré des nations, pierre angulaire qui joint ensemble, l’un et l’autre mur, force de l’homme pétri de limon, viens, Seigneur, viens nous sauver ! » (Antienne du O du 22 décembre). Il faut savoir que sainte Bernadette, la visionnaire de Marie à Lourdes avait annoncé dans des messages demeurés secrets et découverts il y a peu que l’homme irait jusqu’à défier Dieu dans la chambre de vie. Le cercueil de Bernadette fut ouvert son corps était intacte et souple, le médecin imbécile qui constata, fit une incision à l’un de ses bras, et le sang gicla frais et rose. [9] - cf. Livre de la Genèse. Les généticiens ont abandonné la proposition de plusieurs couples à l’origine de l’humanité. [10] - Le mariage est une institution divine fondée avant le péché, dans le Paradis. [11] - Règles communes à toute l’humanité sur lesquelles s’élève l’organisation de la société et dans laquelle au cœur de laquelle se trouvent la Loi Naturelle et le Droit naturel. [12] - Selon la bienheureuse, Catherine Emmerich, dans les Mystères de l’Ancienne Alliance. [13] - Les champs sont comme à la fois des piles, des accus et des émetteurs qui interagissent soit dans l’ordre du bien ou le contraire. Ils reçoivent en permanence des informations du Créateur pour le bien et de l’enfer pour le mal ; toute la création est connectée à eux, ils réagissent à l’usage que l’homme fait de son libre-arbitre ; les philosophes grecs les désignaient par harmonies et savaient que leur dérèglement demandait une réparation d’où leur notion de justice réparatrice pour les hommes entre eux et de haute justice pour les dieux. (cf. les Brunantes sur le site : surleroc.fr) [14] - site : surleroc.fr [15] - Dans l’antiquité païenne ces tunnels existaient, les druides s’en servaient pour communiquer avec les démons ; st Irénée de Lyon pour en refermer un, fit construire le baptistère, beaucoup de construction chrétiennes bâties sur d’anciens sites religieux païens servaient à obturer ces tunnels.
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